Juillet, c’est traditionnellement le Tour de France. Et avec le cyclisme, les valeurs dites de courage, d’abnégation, d’effort pour voir couronner de victoire le travail. Ce n’est que pour poursuivre les justes revendications, non seulement pour eux même mais pour toute la classe des travailleurs que les syndicalistes CGT électriciens gaziers des IEG, avec leurs syndicats de la FNME CGT se sont lancés dans un tour de France de l’énergie. Chaque jour pour la nouvelle étape du Tour de France, une nouvelle action. Démontrant qu’alors que la direction confédérale prise par Sophie Binet après avoir mis son chapeau sur les puissantes luttes contre la réforme des retraites, en répondant au coup de sifflet de fin de la CES CFDT, le syndicalisme de classe lui continue d’être à l’avant garde dans l’action. Une leçon qui doit participer tout de suite et maintenant à la construction du tous ensemble et en même temps urgent pour la rentrée sociale.
Rappelons que la présence de la CGT dans le Tour de France n’a rien d’incongrue. Bien au contraire, puisqu’à l’opposée des Jeux Olympiques et de leurs prix de billets faramineux, et même des coupes du monde de rugby et de foot, le cyclisme reste résolument ce sport populaires, librement et gratuitement accessible depuis le bord des routes. C’est pourquoi la CGT est un des acteurs de la caravane du tour. Mais au delà de cette affichage, c’est bien par l’action militante revendicative que le syndicalisme de classe, le syndicalisme gagnant s’y illustre
JBC pour www.initiative-communiste.fr