Le 29 janvier de luttes a été un succès retentissant, les universitaires se battent contre la loi Pécresse, les travailleurs Martiniquais et guadeloupéens tiennent tête au pouvoir Sarko-MEDEF, ceux de la Réunion vont entre en lutte le 5 mars; le pouvoir sarkoziste, divisé, est aux abois.
Alors, pourquoi, entre 2 mots d’ordre de grèves et manifestations, laisser le temps au pouvoir de reprendre son souffle pour mieux ruser; la balle est dans le camp des états majors syndicaux! Assez de tergiversations, messieurs Chérèque et Thibault ! Une solidarité immédiate doit s’exprimer avec les travailleurs des Territoires d’Outre- mer et avec les universitaires. Une course de vitesse est engagée entre les travailleurs et le pouvoir sarko MEDEF.
Afin de peser positivement sur les entretiens Sarkozy- syndicats du 18 février, le PRCF appelle à organiser des actions diverses (délégations aux élus, déclarations, communiqués de presse…)
Afin de ne pas laisser un seul instant de répit au pouvoir, le PRCF fait la proposition que le 19 mars soit avancé au 5 mars, date de l’entrée en lutte générale des travailleurs de l’ile de la Réunion.
Merci de diffuser et fraternel salut
Voici à nouveau notre déclaration concernant les luttes, augmentée d’un court paragraphe situé au 4ème paragraphe de la page 2 et qui concerne une question très importante: la lutte dans les universités et le système éducatif)
On apprend en effet que sans attendre le 19 mars, la coordination des universités appelle à une journée nationale de manifestations le 19 février et propose l’organisation d’une manifestation nationale réunissant l’ensemble du personnel éducatif à une date proche (fin février ou début mars)
Nous accueillons avec satisfaction cette démarche combattive qui rejoint les préoccupations exprimées dans notre déclaration.
le secrétariat administratif du PRCF
Solidarité avec les travailleurs des DOM-TOM et les universitaires en lutte !
Bousculons « en bas » le calendrier attentiste des états-majors syndicaux !
Ca monte pour le « tous ensemble en même temps » en France !
Pour l’emploi dans le privé et le public, pour abroger les directives européennes de casse et les contre-réformes de Sarko-MEDEF, pour augmenter les salaires, sauver les services publics et les acquis, construisons un immense mouvement d’ensemble !
L’euro-course au profit capitaliste bloque la France, préparons-nous à bloquer l’exploitation capitaliste dans tout le pays comme le font nos compatriotes d’outre-mer !
Faisons du 18 février (date du rendez-vous des états-majors syndicaux avec Sarko-MEDEF) une journée de mobilisation inter-pro « en bas » !
Exigeons que le mouvement inter-pro programmé pour le 19 mars soit avancé au 5 mars, date du début de la grève générale à la Réunion !
Provoqué par la crise mondiale du capitalisme, favorisé par l’Union européenne, son « économie de marché ouverte sur le monde » (article 6 du traité de Maastricht), son austérité salariale liée à l’euro et son interdiction de toute politique industrielle nationale, amplifié par la « rupture » anti-sociale de Sarko-MEDEF, un énorme tsunami économique et social menace notre pays et, en première ligne, les jeunes et le monde du travail :
-pluie de suppressions d’emplois et de licenciements dans l’automobile et les banques malgré l’argent public que Sarko distribue à tout-va au gros patronat,
-licenciements chez Michelin, PSA, Faurécia, mais aussi à Air-France, fermeture en cascade de PME sous-traitantes,
-casse de l’Education nationale, du CNRS et de l’Université, privatisation rampante de la poste, des Caisses d’épargne, de la SNCF, nouvelle centrale nucléaire concédée à Suez,
-blocage des salaires, réduction des remboursements Sécu, des indemnités chômage et mise à mort des services publics bon marché et de l’hôpital public (plan Bachelot) ;
-travail du dimanche, retraite à 65/70 ans ;
-euro-casse de la petite agriculture, du commerce de proximité et de la pêche artisanale par l’Europe et par la « LMS » (loi dite de « modernisation sociale »)…
-étranglement du droit de faire grève, de la liberté d’expression (« délit d’outrage »), mainmise de Sarkozy sur la presse, les médias, la justice, le parlement…
… Où cela s’arrêtera-t-il si nous, ouvriers, cheminots, employés, enseignants, étudiants, ingénieurs et cadres moyens, mais aussi artisans, petits paysans, ne passons pas tous ensemble à la contre-attaque pour défendre nos acquis et notre pays, celui de 1789, de la Commune de Paris, de 1936, de 45 et de 68 ? Un pays que l’UE du capital, Sarko-MEDEF et la fausse gauche (Lamy et Strauss-Kahn (PS) dirigent l’OMC-organisation capitaliste du commerce- et le FMI-fonds monétaire capitaliste ! ) sont en train de liquider !
Encore plus scandaleux : Total annonce d’énormes profits pour 2009 et des dividendes colossaux seront versés aux gros actionnaires du CAC en prenant sur l’argent public. « Marie-Antoinette » Parisot ose même revendiquer plus pour les riches (Sarko vient d’abolir la taxe professionnelle !), alors que le grand patronat français délocalise et refuse de PRODUIRE EN FRANCE (le déficit du commerce extérieur français bat des records en 2008 !).
Pourtant, depuis 2003 où Thibault, soucieux de complaire au jaunissant Chérèque et à la Confédération européenne des syndicats (CES), a renié la CGT de lutte en déclarant « la CGT n’a pas vocation à bloquer le pays », les luttes n’ont pas suffi pour stopper l’offensive contre la France du travail. La cause n’en est pas la « force » des gouvernements maastrichtiens, qui ont perdu la lutte du CPE et le référendum européen de 2005, mais le défaitisme des états-majors syndicaux qui « accompagnent » les régressions, pendant que la « gauche » politique officielle, du PS au NPA en passant par le PCF-Buffet et LO, rabat les citoyens vers la mensongère « Europe sociale ».
Le PRCF considère donc que l’heure est venue d’une large contre-attaque de la classe ouvrière, de la jeunesse et de l’ensemble du monde du travail.
La reculade de Darcos devant le mouvement lycéen, l’immense succès du 29 janvier (2,6 millions de manifestants, 8 millions de grévistes), la grève illimitée à l’université contre la casse du statut et des concours de l’enseignement, le mouvement de GREVE GENERALE et de BLOCAGE dans les DOM (des routes, des stations services tenues par les « békés » descendants des colons) montrent le chemin. La poudre sociale qui peut faire sauter la Bastille sarko-euro-capitaliste est là. L’étincelle est là. Entre les deux, faisant faux contact, n’organisant même pas un meeting inter-pro de solidarité avec les facs et avec les DOM, refusant l’action en bas pour peser sur Sarko le 18 février, les états-majors syndicaux restent bras ballants car leur politique d’accompagnement des contre-réformes européenne est prise à contre-pied par la remontée du combat de classe !
C’est inadmissible, alors que la population des Antilles est menacée d’isolement et de répression. C’est intolérable alors que la victoire sur Pécresse[1] à portée de main des universitaires, ouvrirait une brèche pour les revendications de tous les travailleurs !
C’est pourquoi le PRCF propose partout aux travailleurs, et d’abord aux militants CGT et FSU qui gardent au cœur le syndicalisme de lutte, de multiplier les actions de solidarité inter-pro avec les DOM-TOM et avec l’université en lutte.
Le PRCF soutient également l’appel du Front syndical de classe à faire du 18 février un jour de mobilisation en bas, pour ne pas laisser Sarko-Chérèque nous embobiner avec des mesurettes dont le seul but sera de casser la puissance du 19 mars.
Le PRCF soutient la déclaration du 11 février de la coordination nationale des universités, qui appelle à une journée nationale de manifestations le 19 février et qui proposera à l’ensemble du personnel éducatif une manifestation nationale , fin février ou début mars
Surtout, il faut que monte de partout l’exigence que le prochain rendez-vous interpro, situé le 19 mars de manière à laisser s’épuiser les universités et les DOM, soit AVANCE AU 5 MARS, 1ère journée de la grève générale et du blocage de la Réunion.
Allons-y partout, avec des mots d’ordre clairs et fédérateurs :
-pour une augmentation générale des salaires, notamment le SMIC à 1600 € net, avec augmentation générale des petits et moyens salaires (en Guadeloupe on réclame 200 € pour tous, en Martinique 400) ; pour cela il faut prendre sur les scandaleux profits capitalistes du CAC 40 et traiter différemment au niveau des charges le CAC et les TPME ; paiement total des salaires des ouvriers en chômage technique en interdisant le versement de dividendes et en supprimant les stock-options aux PDG incapables et arrogants ;
-pour l’interdiction des licenciements, délocalisations, privatisations et suppressions d’emploi (privé/public), la nationalisation-expropriation (pas un sou d’indemnités aux gros actionnaires) des entreprises qui licencient après avoir touché de l’argent public ;
-refus de la France d’appliquer les directives antisociales de la Commission de Bruxelles et de la Banque de Francfort imposant de bloquer les salaires et de réduire les dépenses sociales pour sauver l’euro-mark en perdition ; notre pays doit reconquérir sa souveraineté monétaire, budgétaire, économique et industrielle ; un futur gouvernement populaire doit pouvoir nationaliser et gérer démocratiquement un large secteur public, ré-industrialiser son économie et l’arracher des mains du capital spéculatif ; dès aujourd’hui exigeons que la France refuse de payer les « amendes » infligées à la France par l’euro-dictature avec la complicité de Sarko ;
-annulation et retrait des contre-réformes de Sarko-Barroso-Parisot : sauvons et développons l’Educ’, la Sécu, les retraites, la poste, EdF-GdF ; exigeons l’annulation des lois vichyssoises criminalisant les ouvriers immigrés, bridant la grève et déshonorant notre pays, celui des Lumières, pour en faire un Etat-policier ;
-Pour reconstruire la perspective politique et ne pas laisser le PS pro-Maastricht et ses satellites électoraux (Verts et PC-Buffet) s’approprier les luttes et dévoyer l’alternance comme l’ont fait Jospin-Voynet-Gayssot en 95/2007, le PRCF appelle les forces franchement communistes, progressistes et anti-Maastricht à construire un Front Républicain, Antifasciste, Patriotique, Progressiste et Populaire (FRAPPP !) pour :
-chasser Sarko-MEDEF, refuser tous les euro-diktats,
-sortir la France du broyeur de l’UE,
-sortir de l’OTAN et rapatrier toutes les troupes françaises agissant à l’étranger pour le compte de l’impérialisme (Afghanistan, mais aussi « Françafrique »),
-reconstruire une économie nationale productive,
-reconstituer le pouvoir d’achat populaire et les services publics,
-mettre en place de nouveaux traités internationaux progressistes,
-promouvoir l’Europe des luttes non pour « améliorer » l’UE, mais pour jeter bas l’euro-dictature,
-promouvoir la souveraineté nationale et populaire, substituer à l’euro-mondialisation sauvage en crise la coopération internationale entre peuples libres, quitte à rompre pour cela avec la domination du grand capital et à rouvrir la marche au véritable socialisme dans notre pays.
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[1] Cette autre Marie-Antoinette a obtenu le « Prix de la carpette anglaise » parce qu’elle a déclaré que « la langue française est en déclin » et qu’elle veut aggraver le « tout anglais » à l’université et dans la recherche.
Provoqué par la crise mondiale du capitalisme, favorisé par l’Union européenne, son « économie de marché ouverte sur le monde » (article 6 du traité de Maastricht), son austérité salariale liée à l’euro et son interdiction de toute politique industrielle nationale, amplifié par la « rupture » anti-sociale de Sarko-MEDEF, un énorme tsunami économique et social menace notre pays et, en première ligne, les jeunes et le monde du travail :
-pluie de suppressions d’emplois et de licenciements dans l’automobile et les banques malgré l’argent public que Sarko distribue à tout-va au gros patronat,
-licenciements chez Michelin, PSA, Faurécia, mais aussi à Air-France, fermeture en cascade de PME sous-traitantes,
-casse de l’Education nationale, du CNRS et de l’Université, privatisation rampante de la poste, des Caisses d’épargne, de la SNCF, nouvelle centrale nucléaire concédée à Suez,
-blocage des salaires, réduction des remboursements Sécu, des indemnités chômage et mise à mort des services publics bon marché et de l’hôpital public (plan Bachelot) ;
-travail du dimanche, retraite à 65/70 ans ;
-euro-casse de la petite agriculture, du commerce de proximité et de la pêche artisanale par l’Europe et par la « LMS » (loi dite de « modernisation sociale »)…
-étranglement du droit de faire grève, de la liberté d’expression (« délit d’outrage »), mainmise de Sarkozy sur la presse, les médias, la justice, le parlement…
… Où cela s’arrêtera-t-il si nous, ouvriers, cheminots, employés, enseignants, étudiants, ingénieurs et cadres moyens, mais aussi artisans, petits paysans, ne passons pas tous ensemble à la contre-attaque pour défendre nos acquis et notre pays, celui de 1789, de la Commune de Paris, de 1936, de 45 et de 68 ? Un pays que l’UE du capital, Sarko-MEDEF et la fausse gauche (Lamy et Strauss-Kahn (PS) dirigent l’OMC-organisation capitaliste du commerce- et le FMI-fonds monétaire capitaliste ! ) sont en train de liquider !
Encore plus scandaleux : Total annonce d’énormes profits pour 2009 et des dividendes colossaux seront versés aux gros actionnaires du CAC en prenant sur l’argent public. « Marie-Antoinette » Parisot ose même revendiquer plus pour les riches (Sarko vient d’abolir la taxe professionnelle !), alors que le grand patronat français délocalise et refuse de PRODUIRE EN FRANCE (le déficit du commerce extérieur français bat des records en 2008 !).
Pourtant, depuis 2003 où Thibault, soucieux de complaire au jaunissant Chérèque et à la Confédération européenne des syndicats (CES), a renié la CGT de lutte en déclarant « la CGT n’a pas vocation à bloquer le pays », les luttes n’ont pas suffi pour stopper l’offensive contre la France du travail. La cause n’en est pas la « force » des gouvernements maastrichtiens, qui ont perdu la lutte du CPE et le référendum européen de 2005, mais le défaitisme des états-majors syndicaux qui « accompagnent » les régressions, pendant que la « gauche » politique officielle, du PS au NPA en passant par le PCF-Buffet et LO, rabat les citoyens vers la mensongère « Europe sociale ».
Le PRCF considère donc que l’heure est venue d’une large contre-attaque de la classe ouvrière, de la jeunesse et de l’ensemble du monde du travail.
La reculade de Darcos devant le mouvement lycéen, l’immense succès du 29 janvier (2,6 millions de manifestants, 8 millions de grévistes), la grève illimitée à l’université contre la casse du statut et des concours de l’enseignement, le mouvement de GREVE GENERALE et de BLOCAGE dans les DOM (des routes, des stations services tenues par les « békés » descendants des colons) montrent le chemin. La poudre sociale qui peut faire sauter la Bastille sarko-euro-capitaliste est là. L’étincelle est là. Entre les deux, faisant faux contact, n’organisant même pas un meeting inter-pro de solidarité avec les facs et avec les DOM, refusant l’action en bas pour peser sur Sarko le 18 février, les états-majors syndicaux restent bras ballants car leur politique d’accompagnement des contre-réformes européenne est prise à contre-pied par la remontée du combat de classe !
C’est inadmissible, alors que la population des Antilles est menacée d’isolement et de répression. C’est intolérable alors que la victoire sur Pécresse[1] à portée de main des universitaires, ouvrirait une brèche pour les revendications de tous les travailleurs !
C’est pourquoi le PRCF propose partout aux travailleurs, et d’abord aux militants CGT et FSU qui gardent au cœur le syndicalisme de lutte, de multiplier les actions de solidarité inter-pro avec les DOM-TOM et avec l’université en lutte.
Le PRCF soutient également l’appel du Front syndical de classe à faire du 18 février un jour de mobilisation en bas, pour ne pas laisser Sarko-Chérèque nous embobiner avec des mesurettes dont le seul but sera de casser la puissance du 19 mars.
Le PRCF soutient la déclaration du 11 février de la coordination nationale des universités, qui appelle à une journée nationale de manifestations le 19 février et qui proposera à l’ensemble du personnel éducatif une manifestation nationale , fin février ou début mars
Surtout, il faut que monte de partout l’exigence que le prochain rendez-vous interpro, situé le 19 mars de manière à laisser s’épuiser les universités et les DOM, soit AVANCE AU 5 MARS, 1ère journée de la grève générale et du blocage de la Réunion.
Allons-y partout, avec des mots d’ordre clairs et fédérateurs :
-pour une augmentation générale des salaires, notamment le SMIC à 1600 € net, avec augmentation générale des petits et moyens salaires (en Guadeloupe on réclame 200 € pour tous, en Martinique 400) ; pour cela il faut prendre sur les scandaleux profits capitalistes du CAC 40 et traiter différemment au niveau des charges le CAC et les TPME ; paiement total des salaires des ouvriers en chômage technique en interdisant le versement de dividendes et en supprimant les stock-options aux PDG incapables et arrogants ;
-pour l’interdiction des licenciements, délocalisations, privatisations et suppressions d’emploi (privé/public), la nationalisation-expropriation (pas un sou d’indemnités aux gros actionnaires) des entreprises qui licencient après avoir touché de l’argent public ;
-refus de la France d’appliquer les directives antisociales de la Commission de Bruxelles et de la Banque de Francfort imposant de bloquer les salaires et de réduire les dépenses sociales pour sauver l’euro-mark en perdition ; notre pays doit reconquérir sa souveraineté monétaire, budgétaire, économique et industrielle ; un futur gouvernement populaire doit pouvoir nationaliser et gérer démocratiquement un large secteur public, ré-industrialiser son économie et l’arracher des mains du capital spéculatif ; dès aujourd’hui exigeons que la France refuse de payer les « amendes » infligées à la France par l’euro-dictature avec la complicité de Sarko ;
-annulation et retrait des contre-réformes de Sarko-Barroso-Parisot : sauvons et développons l’Educ’, la Sécu, les retraites, la poste, EdF-GdF ; exigeons l’annulation des lois vichyssoises criminalisant les ouvriers immigrés, bridant la grève et déshonorant notre pays, celui des Lumières, pour en faire un Etat-policier ;
-Pour reconstruire la perspective politique et ne pas laisser le PS pro-Maastricht et ses satellites électoraux (Verts et PC-Buffet) s’approprier les luttes et dévoyer l’alternance comme l’ont fait Jospin-Voynet-Gayssot en 95/2007, le PRCF appelle les forces franchement communistes, progressistes et anti-Maastricht à construire un Front Républicain, Antifasciste, Patriotique, Progressiste et Populaire (FRAPPP !) pour :
-chasser Sarko-MEDEF, refuser tous les euro-diktats,
-sortir la France du broyeur de l’UE,
-sortir de l’OTAN et rapatrier toutes les troupes françaises agissant à l’étranger pour le compte de l’impérialisme (Afghanistan, mais aussi « Françafrique »),
-reconstruire une économie nationale productive,
-reconstituer le pouvoir d’achat populaire et les services publics,
-mettre en place de nouveaux traités internationaux progressistes,
-promouvoir l’Europe des luttes non pour « améliorer » l’UE, mais pour jeter bas l’euro-dictature,
-promouvoir la souveraineté nationale et populaire, substituer à l’euro-mondialisation sauvage en crise la coopération internationale entre peuples libres, quitte à rompre pour cela avec la domination du grand capital et à rouvrir la marche au véritable socialisme dans notre pays.
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[1] Cette autre Marie-Antoinette a obtenu le « Prix de la carpette anglaise » parce qu’elle a déclaré que « la langue française est en déclin » et qu’elle veut aggraver le « tout anglais » à l’université et dans la recherche.