La description du travail de la misère passé et actuelle se suffit à elle-même.
Maintenant, il faut passer à l’action.
Voilà tout le problème.
En Amérique Latine, trois pays les plus avancés sur l’échelle humaine, sont assaillis irrésistiblement par la droite fasciste.
La France, le symbole de (………) demeure la clef de la continuation exacerbée du néo-capitalisme, ou, peut-être le début du renversement vue sa puissance encore reconnue, mais passablement malmenée, surtout que c’est un parti qui porte le nom de socialisme qui fait de la gauche une idéologie sans idéologie.
Le communisme réduit s’acharne dans le sillon du passé et ne se renouvelle pas.
En écoutant le discours ci-haut, sur le plan académique c’est bien. Mais il faut y prêter une attention soutenue.
Mais sur le plan citoyen-travailleur, le discours devra passé au mode vivant et visé concrètement les aspirations des citoyens-travailleurs, et immanquablement rejoindre la classe moyenne.
Les références historiques peuvent servir, dans la mesure qu’elle s’incère adéquatement dans le discours citoyens.
Si le discours ne rejoint pas le citoyen-travailleur, C’est qu’il ne s’adapte pas, ou que les propositions sont insuffisantes ou trop étriquées.
Avant que le citoyen-travailleur se tape ce genre d’ouvrage, moi-même, je n’y trouve pas mon compte en écoutant cette dame instruite.
Les gens de gauche (sont des citoyens-travailleurs exception faite de l’élit bien sûr…) doivent se voir comme citoyen-travailleur, pas comme un acteur sur scène, mais dans la réalité du quotidien. Le temps pour le travail, le temps pour les enfants, le temps pour les loisirs, le temps avec l’autre, le temps des nouvelles…..le temps dans les manifestations et le bilan de celles-ci.
Parce que, les manifestations, selon leur ampleur, sont décisives par rapport aux contraintes imposées, mais à recommencer…N’est-ce pas ! Aujourd’hui, un nouvel outil intéressant, les pétitions qui ont des effets. Voir Avazz.
À cet effet, Avazz plus de 40 millions de signataires.
Pour que l’effet soit percutant et décisif, il faudra qu’à brève échéance les pétitions soient portés sur des sujets plus globaux, ayant des effets collatéraux plus globaux, et atteindre plusieurs millions de signatures, accompagné par des manifestations organisées (coordonnées..) par des comités organisés par des citoyens-travailleurs entraînant dans leur sillage les syndicats et autres instances citoyennes plus « classiques » et associations, au premier chef universitaire…….
Bien, comme elle souligne, il faut revenir aux sources, les textes de Marx, de Engels… Mais c’est pas la majorité des citoyens-travailleurs qui vont se les taper. Mais ceux qui le feront devront s’en servir adéquatement.
Et comment ?
Moi je préfère me référer à une connaissance plus générale historique, dans des textes résumés-synthèses en langage ou dialectique accessible (tournure de phrase, etc…) simple à comprendre que des textes sophistiqués qui en bout de ligne ne nous en apprends pas plus, mais difficile à digérer. Ou encore des mots dont la connotation risque de faire fuir.
Je ne suis pas ici, pour me faire aimer, je laisse ça au lèche cul et aux hollandes, il y en plein de petits.
J’ai ma démarche, qui n’est pas d’hier, et je constate que tout bord tout côté pleuvent les arguments pour contre, ceux qui donnent du crédit, ceux qui discréditent, les jeux politiques sales de basse intensité (une nouvelle expression dans la langue politique, tout comme dommage collatéral……) utilisé pour faire tomber les gouvernements progressistes en Amérique latine.
Je crois qu’il faut avoir une connaissance générale sur l’essentiel ,avec des faits concernés, suffisante pour pouvoir se donner une vision d’ensemble cohérente qui permet de saisir les actions adéquates et leur priorisation à mettre en oeuvre.
C’est cette cohérence, réalisable à brève échéance, qu’attend le citoyen-travailleur.
Pas de bébelles étriquées, que de toute façon, le néo-capitalisme récupère.
Intéressant.
La description du travail de la misère passé et actuelle se suffit à elle-même.
Maintenant, il faut passer à l’action.
Voilà tout le problème.
En Amérique Latine, trois pays les plus avancés sur l’échelle humaine, sont assaillis irrésistiblement par la droite fasciste.
La France, le symbole de (………) demeure la clef de la continuation exacerbée du néo-capitalisme, ou, peut-être le début du renversement vue sa puissance encore reconnue, mais passablement malmenée, surtout que c’est un parti qui porte le nom de socialisme qui fait de la gauche une idéologie sans idéologie.
Le communisme réduit s’acharne dans le sillon du passé et ne se renouvelle pas.
En écoutant le discours ci-haut, sur le plan académique c’est bien. Mais il faut y prêter une attention soutenue.
Mais sur le plan citoyen-travailleur, le discours devra passé au mode vivant et visé concrètement les aspirations des citoyens-travailleurs, et immanquablement rejoindre la classe moyenne.
Les références historiques peuvent servir, dans la mesure qu’elle s’incère adéquatement dans le discours citoyens.
Si le discours ne rejoint pas le citoyen-travailleur, C’est qu’il ne s’adapte pas, ou que les propositions sont insuffisantes ou trop étriquées.
Avant que le citoyen-travailleur se tape ce genre d’ouvrage, moi-même, je n’y trouve pas mon compte en écoutant cette dame instruite.
Les gens de gauche (sont des citoyens-travailleurs exception faite de l’élit bien sûr…) doivent se voir comme citoyen-travailleur, pas comme un acteur sur scène, mais dans la réalité du quotidien. Le temps pour le travail, le temps pour les enfants, le temps pour les loisirs, le temps avec l’autre, le temps des nouvelles…..le temps dans les manifestations et le bilan de celles-ci.
Parce que, les manifestations, selon leur ampleur, sont décisives par rapport aux contraintes imposées, mais à recommencer…N’est-ce pas ! Aujourd’hui, un nouvel outil intéressant, les pétitions qui ont des effets. Voir Avazz.
À cet effet, Avazz plus de 40 millions de signataires.
Pour que l’effet soit percutant et décisif, il faudra qu’à brève échéance les pétitions soient portés sur des sujets plus globaux, ayant des effets collatéraux plus globaux, et atteindre plusieurs millions de signatures, accompagné par des manifestations organisées (coordonnées..) par des comités organisés par des citoyens-travailleurs entraînant dans leur sillage les syndicats et autres instances citoyennes plus « classiques » et associations, au premier chef universitaire…….
Bien, comme elle souligne, il faut revenir aux sources, les textes de Marx, de Engels… Mais c’est pas la majorité des citoyens-travailleurs qui vont se les taper. Mais ceux qui le feront devront s’en servir adéquatement.
Et comment ?
Moi je préfère me référer à une connaissance plus générale historique, dans des textes résumés-synthèses en langage ou dialectique accessible (tournure de phrase, etc…) simple à comprendre que des textes sophistiqués qui en bout de ligne ne nous en apprends pas plus, mais difficile à digérer. Ou encore des mots dont la connotation risque de faire fuir.
Je ne suis pas ici, pour me faire aimer, je laisse ça au lèche cul et aux hollandes, il y en plein de petits.
J’ai ma démarche, qui n’est pas d’hier, et je constate que tout bord tout côté pleuvent les arguments pour contre, ceux qui donnent du crédit, ceux qui discréditent, les jeux politiques sales de basse intensité (une nouvelle expression dans la langue politique, tout comme dommage collatéral……) utilisé pour faire tomber les gouvernements progressistes en Amérique latine.
Je crois qu’il faut avoir une connaissance générale sur l’essentiel ,avec des faits concernés, suffisante pour pouvoir se donner une vision d’ensemble cohérente qui permet de saisir les actions adéquates et leur priorisation à mettre en oeuvre.
C’est cette cohérence, réalisable à brève échéance, qu’attend le citoyen-travailleur.
Pas de bébelles étriquées, que de toute façon, le néo-capitalisme récupère.
Nous sommes ne compétition avec un gros joueur.
Une réflexion.