Dès le 12 janvier, le PRCF a appelé à une riposte populaire déclarant
Une manifestation nationale unitaire des syndicalistes de lutte et des vrais progressistes pour la solidarité avec les ouvriers de Goodyear et d’Air France, avec également les marins en lutte de la SNCM (Marseille) ouvertement menacés d’agression par certains patrons corses fascistes, pour les libertés syndicales, contre l’État policier et l’ensemble des contre-réformes impulsées par l’UE et par Valls-MEDEF, s’impose : plus que jamais, tous ensemble et en même temps.
Oui c’est tous ensemble et en même temps qu’il faut riposter ! Et c’est bien cela que Mickael Wamen, courageux délégué CGT de Goodyear Amiens demande ! Mobilisons nous dans la rue, ensemble, pour remettre les travailleurs à l’offensive !
Signez et faites signer l’Appel des Goodyear. Nous sommes tous des goodyear !
Contre la social-fascisation impulsée par Valls-MEDEF, solidarité avec les ouvriers CGT d’Air-France et de Goodyear. Riposte générale du monde du travail !
Je ne suis pas spécialement « communiste », mais j’ai particulièrement apprécié le discours de vérité très offensif de Mr mickaël Wamen au cours de l’émission « c’est à vous ». Son charisme, sa sincérité, sa lucidité et son sens du combat devraient en faire le chef de fil de tous les « sans dents » auxquels je suis fier d’appartenir. 1 % des humains veulent soumettre les 99 restants à l’esclavage…….ils y sont presque arrivés, un leader crédible comme Mr Wamen peut déclencher un tsunami salutaire…….
vincent Barbier
Oui. C’est bien parce que un leader comme Mickael Wamen – syndicaliste de classe à tous les sens du termes – est une étincelle pour l’alternative que la classe capitaliste (sous les applaudissements du FN !) veut l’emprisonner. C’est parce que nous sommes tous visés à travers lui que nous devons tous nous défendre en le défendant.
Le chantage du non-dit, quand le procureur de la République terrorise Mikael Wamen et sa famille: ou tu fais un dernier tour de manège dans les merdia, en prenant le Capital (Emmanuel Macron) sur tes genoux, ou tu paies le prix fort de ta rébellion…