Les violences policières contre le mouvement social pour le retrait de la loi travail c’est aussi des violences policières contre la presse.
En témoigne pour ne citer que cet exemple celui de Romain D. 28 ans, journaliste indépendant, qui se trouve depuis plusieurs jours dans un état grave à l’Hopital, dans le coma après que des policiers ai jeté sur des manifestants pacifique une grenade.
L’attitude provocatrice des chefs de la police et de leurs aboyeurs des médias ne fait aucun doute pour ceux qui se rendent sur place au lieu de lire la presse aux ordre et les officines audiovisuelles privées et d’Etat. Ils n’informent pas sur le mouvement, ils le combattent et toutes les calomnies sont bonnes pour cela.
Etat d’urgence sans fin, 49/3, quadrillage des manifs, matraquage de journalistes, absence totale de sollicitude pour les ouvriers et ouvrières pères de famille qui ont déjà perdu la vie ou sont près de la perdre pour défendre leur classe et leur pays, tout cela en dit long sur le degré de fascisation de notre pays sous la houlette de Hollande-MEDEF et de la dictature euro-atlantique.
Dans les manifestations du 26 mai – comme lors des précédentes – les témoignage abondent de ces CRS, de ces gendarmes, de ces policiers qui visent délibérément les journalistes pour les empêcher de faire leur travail, de donner à voir les images des violences policières et de la répression sauvage lancée par le gouvernement Valls UE MEDEF. Rien que le 26, et rien qu’à Paris, 5 journalistes de l’AFP, Panoramic,Hexagone, L’Humanité et Politis ont été victimes de violences policières.
Mais le peuple travailleur de France relève la tête et c’est une bonne nouvelle pour la France et pour tous les amis étrangers qui désespéraient du pays de Gavroche.