En commission des affaires sociales, En Marche a totalement bloquer le débat parlementaire sur la texte de loi d’habilitation du gouvernement à légiférer par ordonnances pour détruire le code du travail. C’est en moins de deux jours que le texte a été expédié, sans véritable débat. En témoigne le rejet de la quasi totalité des amendements et en particulier de la totalité des amendements de l’opposition.
C’est bien le totalitarisme le plus brutal qui est en marche avec Macron, celui de l’application zélé et au pas de charge des ordres données par la Commission Européenne, c’est à dire par le MEDEF : se moquant même des formes démocratiques, Macron tombe le masque,ses députés godillots, véritables hommes de main du MEDEF, interdisant le débat à l’Assemblée tandis que son gouvernement veut imposer au coeur de l’été là aussi sans aucun débat une destruction totale du Code du Travail
A l’Assemblée, les députés France Insoumise ont dénoncé un projet de loi attendu par le MEDEF et tourné contre les travailleurs.
Dans le même temps, la mobilisation s’organise partout en France, en Outre mer où l’intersyndicale a déclenché en début de semaine une grève générale avec barrages routiers pour montrer l’exemple, comme en Métropole
Compte rendu de l’absence de débat à l’Assemblée :
Auditions et examen du texte sur les ordonnances ont duré de mardi 21h à jeudi 11h15. La République en marche invente la loi TGV #directAN https://t.co/OHykmMRgl3
— Jason Wiels (@Wiels_J) 6 juillet 2017
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France Insoumise :
« À part le @medef et les représentants de quelques intérêts particuliers, personne n’attend ce projet de loi » conclut @AQuatennens #directAN pic.twitter.com/vxSGLQ3I9M
— LCP (@LCP) 6 juillet 2017
77 amendements étudiés, avec « un taux d’acceptation de 0% ». « Evidemment », répond la présidente @BourguignonBrig. #DirectAN pic.twitter.com/SFUqL7x4ij
— LCP (@LCP) 5 juillet 2017