Avec la parfaite collusion de l’Ordre des médecins, le régime Macron et les structures profondes de l’institution médicale, étroitement liée aux monopoles privés du médicament, ont délibérément interdit aux médecins de ville de respecter le Serment d’Hippocrate et de soigner en leur âme et conscience.
Pour interdire la délivrance de Plaquenil et tenter de sanctionner l’IHU de Marseille, l’État profond du Capital, qui relève moins de la République indivisible et démocratique voulue par les Jacobins que d’un capitalisme monopoliste, bonapartiste et de saveur mandarinale, a imposé une forme étatique unique de traitement, ou plutôt de non-traitement puisqu’il était prescrit aux suspects de Covid de rester chez eux sans rien faire en attendant la brutale survenue d’une détresse respiratoire potentiellement mortelle…Ces énormes attentats à la liberté de prescription des médecins et à la vie même des malades finiront tôt ou tard au pénal si le mot justice a encore un sens dans notre France frappée de décomposition maastrichtienne.
En attendant, que les grotesques « libéraux » qui nous gouvernent, n’aient plus jamais l’impudence de traiter les communistes d’étatistes primaires. En effet, Croizat avait créé une Sécu autogérée par les assurés sociaux et totalement indépendante de l’État et c’est la droite, puis Juppé, qui ont mis le patronat et l’État à la barre de la Sécu pour diminuer l’offre de soins et sabrer les lits d’hôpital.
Maintenant, ces bourreaux de la santé publique en viennent à étatiser la médecine dite libérale pour faire des généralistes les petits fantassins de Big Pharma. C’est ce que constate, comme des milliers de médecins, ce docteur courageux d’une ville alsacienne durement frappée par le virus.
Les marxistes ne sont nullement des fanatiques de l’État comme tel. Ils combattent l’État BOURGEOIS, luttent pour un État populaire qui aura la tâche de s’éteindre au fur et à mesure que s’élèvera le degré d’éducation, de solidarité et d’autogestion de la nation laborieuse dans son ensemble. Le contraire même des interdits de soigner infligés à répétition par les médiocres dictateurs de la Macronie mandarinale.
À lire et à méditer – Georges Gastaud
Lettre ouverte du Dr Gérard SIMLER.
APPEL À RÉAGIR DEVANT LE REJET PAR L’ÉTAT DE NOTRE SERMENT D’HIPPOCRATE
Monsieur le Président de l’Ordre des Médecins du Bas-Rhin,
Monsieur le Président de l’Ordre des Médecins du Haut-Rhin,
Monsieur le Président du Conseil Régional,
Mesdames et Messieurs les membres de nos Conseils de l’Ordre,
L’Alsace est particulièrement victime du Covid-19. Pourtant les besoins massifs de soins et d’hospitalisation sont difficilement couverts.
Nous, les médecins généralistes, sommes en première ligne. Sur mon secteur de Marckolsheim, trois médecins (Dr Denja DAL MASO de Marckolsheim, Dr Arnaud SUTTER de Mussig et Dr Thomas ROUILLAY de Hilsenheim) ont été ou sont encore hospitalisés.
Personnellement aux premiers signes cliniques de fébricule, fatigue et signes ORL, j’ai de suite pris la seule arme efficace pour un médecin généraliste (hydroxychloroquine + azithromycine) pendant une dizaine de jours, avec une nette amélioration vers le 4e ou 5e jour.
J’ai eu de la chance, parce qu’après le vendredi 20 mars les pharmacies de ville avaient interdiction de le délivrer. Il va sans dire également qu’on m’a refusé le prélèvement nasal, parce que j’étais « sans signes de gravité ».
De toute ma carrière médicale je n’ai jamais vu un gouvernement français interdire aux médecins généralistes de traiter en leur âme et conscience. C’est l’État français qui jette le serment d’Hippocrate aux ornières : ses décrets de lois seraient supérieurs à nos valeurs, à notre devise de soigner … ET L’ORDRE DES MÉDECINS NE RÉAGIT PAS !
Peut-on qualifier autrement que de « crime contre l’humanité ou crime de guerre », puisque nous sommes en « temps de guerre !» selon le Président Macron, l’action des pouvoirs publics qui : empêchent les médecins généralistes de traiter efficacement avec le mix hydroxychloroquine-azithromycine classant, comme par hasard, au tableau des substances vénéneuses mi-janvier 2020 une hydroxychloroquine auparavant en ventre libre,
- font un tapage médiatique sur les effets secondaires majeurs de l’hydroxychloroquine additionnée à l’azithromycine, alors que c’est un gros mensonge : on connaît ces médicaments depuis 70 ans pour l’un et au moins 30 à 40 ans pour l’autre. Avec un QTc inf à 450 pour l’homme et 460 pour la femme à l’ECG et une normokaliémie, le risque est réellement minime. Par contre tous les anti- et rétrovirus actuellement à l’étude ont des effets secondaires beaucoup plus inquiétants, délibérément ignorés par ces médias,
- envoient les médecins généralistes et les infirmières libérales en première ligne tout en les empêchant de se faire dépister prioritairement pour éviter qu’ils ne transmettent le covid-19 à leur tour,
- publient un décret gouvernemental le 29 mars 2020 autorisant tout médecin, face à une détresse respiratoire aiguë due au Covid-19, à décider de façon isolée (et non en concertation collégiale) d’injecter en IVD du rivotril (ou clonazepam)pour soulager…, quand il n’a pas d’oxygène ni de respirateur !
- interdisent d’utiliser l’HEMO2life. Dans une situation extrême, je préférerais, et signerais volontiers une décharge dans ce sens, qu’on m’injecte « expérimentalement » une dose de HEMO2life de la société Hémarina de Morlaix. L’HEMO2 ligne, produit à partir de l’hémoglobine de l’arenicola marina transporte 40 fois plus d’oxygène que l’hémoglobine humaine. Mais c’est aussi interdit… Il serait pourtant plus éthique, plus décent d’essayer, malgré les inconnues, de sauver plutôt que d’« euthanasier » pour soulager par manque de matériel !
Nous avons certes besoin des laboratoires pour les médicaments qu’ils nous mettent à disposition, mais nous ne devons pas accepter comme unique paramètre cette course au profit contre toute vie humaine. Big Pharma possède et contrôle toutes les publications médicales, possède et contrôle toute la haute administration du Ministère de la Santé. La plupart des infectiologues accueillis actuellement sur les plateaux des journaux télévisés sont dans des situations de conflit d’intérêts.
Le gouvernement est plus préoccupé à mettre en place des études, de la recherche que de traiter efficacement. Il empêche les médecins généralistes de soigner et de guérir en leur âme et conscience. C’est très grave. Quand le ministre de la Santé affirme que la France a un stock d’hydroxychloroquine suffisant et qu’il interdit en même temps à la médecine de ville de l’utiliser pour soigner en amont et éviter l’hospitalisation, c’est très grave !
ET L’ORDRE DES MÉDECINS NE DIT RIEN !
Bien confraternellement
Dr Gérard SIMLER de Marckolsheim
Merci de transmettre à tous les membres de l’Ordre.
PS : Je ne peux pas croire que vous ignorez l’actualité.
http://azur-fm.com/news/le-docteur-gerard-simler-appelle-a-reagir-120
On veut aussi nous interdire d’aller sur les plages cet été, alors que le grand air et le soleil sont les meilleurs agents d’une bonne santé. Deux mois de confinement, dont je ne conteste pas la nécessité face à la gravité de la situation, ont affaibli la population. Il faut les compenser par de la marche en forêt, dans la campagne, à la montagne, en bord de mer.
Nous en avons assez de messieurs « je sais tout » qui font tout à contre-temps.
Ça dépand le confinement est une nécessité mais la manière dont il est appliqué laisse à désirer et l’example des plages est assez iconique, tout aussi iconique que des gens qui vont dans le métro parisien.