Heureusement qu’on a démasqué à temps ce sinistre individu qui voulait se faire passer pour un compositeur génial du XIXe siècle.
Heureusement aussi qu’un dénommé Fiodor Dostoïevski, qui a des prétentions littéraires, a vu une conférence sur son immodeste personne bloquée par la sagesse du recteur de l’université de Milan.
Plus grave encore, une équipe de chats russes, élevés sans doute dans les mêmes officines que les pigeons du sieur Jacques Duclos, ont eux aussi été découverts et, avec un soulagement général, interdits de compétition par la Fédération féline internationale.
A part ça, surtout n’oubliez pas que Poutine – et lui seul – est fou.
Aymeric Monville