On est mal informé(s) ou tout va pour le mieux dans la très démocratique « Union européenne » :
En Pologne, on gagne des médailles gouvernementales pour sa « contribution particulière à l’éducation », ainsi, en octobre 2017, après avoir écrit, dans l’hebdomadaire gouvernemental Gazeta Polska, que la situation avait été assez sympathique pour les juifs de Pologne après l’invasion allemande de septembre 1939 : « scoop » historique d’un certain « Tomasz Panfil, professeur d’histoire à l’université catholique de Lublin », spécialiste… « d’héraldique et de numismatique » chercheur catholique donc qui, on s’en doute, n’a guère travaillé sur la question. « L’Institut du souvenir national » (IPN) de Varsovie, dont cet individu est présenté comme « chercheur de la section de l’IPN à Lublin », a rapporté avec fierté ce haut fait, après la remise de la médaille par la ministre de l’Éducation, avant qu’un communiqué de la section de Lublin ne se montre moins enthousiaste, si, si…
En 2014, le « chercheur » avait écrit sur un site fasciste « que la swastika était “un symbole ambigu” et que le NSDAP était “un parti de gauche” ».
« Les médias occidentaux » ont été sur l’affaire, selon l’usage, d’une discrétion de violette.
On se souvient que Andriy Melnyk, nommé ambassadeur de Zelenski en Allemagne avait obligé par ses déclarations publique la Pologne et Israël à des réactions. Il avait en effet publiquement et en Allemagne, dans une interview au journal Tilo Jung défendu Bandera et ses troupes de collaborateurs du IIIe Reich, tenant des propos négationistes » Bandera n’était pas un meurtrier de masse de polonais et de juifs ». En réalité rien de surprenant le régime Zelenski et ses bataillons néo nazis dressant des monumants à la gloire de Bandera et ses séides. Répandant le drapeau fasciste rouge et noir de l’OUN et de l’UPA. Tandis que jusqu’au chef d’etat major de l’armée de Kiev, les soldats et miliciens arborent des insignes recyclés des divisions SS du Front de l’Est.
Exfiltré de Berlin, Melnyk a été … promu par Zelenski comme ministre adjoint aux affaires étrangères.
Et désormais, même les Russes repentants-« réfugiés » sont bannis par l’Ukraine, en Ukraine et ailleurs dans le « monde libre » (par exemple à Strasbourg). C’était bien la peine…
Ce problème « épineux » embarrasse même le « journal de référence », dont l’article y afférent mérite lecture attentive ( lire ci dessous, https://www.lemonde.fr/international/article/2023/05/20/guerre-en-ukraine-le-couperet-de-la-cancel-culture-s-abat-sur-l-intelligentsia-russe-exilee_6174130_3210.html).
Mais c’est que ce comportement de nos chers « amis ukrainiens » ressemble furieusement à des conceptions banderistes…
Dans son article du 20 mai 2024, Emmanuel Grynszpan, l’une des plumes qui charrie la propagande de guerre dans la droite ligne de celle définie par les chancellerie de l’Axe USA UE OTAN, est bien obligée de reconnaitre que la discrimination de l’ensemble des russes, parceque russe, revendiquait par le régime Zelenski de Kiev, est de plus en plus difficile à cacher. Elle démontre de ce qu’est la nature de ce régime qui depuis le coup d’Etat de Maidan, impulsé et soutenu par l’axe Washington Bruxelles Berlin, s’en prend aux russophone, et explique une large partie de la situation déchirant actuellement l’Ukraine.
Grynszpan de remarquer que ce sont maintenant des russes exilée de Russie, opposant déclarés à Poutine et porte voix de l’Occident capitaliste qui sont désormais victimes des oukazes de la discrimination voulue par les nationalistes fascistes ukrainiens. En effet, le régime Zelenski a décrété l’interdiction mondiale de la diffusion et de la présence de n’importe quel russe.
Et de citer ainsi la démissionde Masha Gessen, écrivaine americno russe due PEN America, suite à la satisfaction de la demande de deux combattants ukrainien, Artem Chapeye et Artem Tchkh de censurer les écrivains russe Anna Nemzer et Ilia Veniavkine. Deux auteurs pourtant opposant de Poutine et qui se sont exilés de Russie. A Londres, c’est l’écirvain Chnederovitch qui s’est fait censurer, interdit de conférence à l’University College, bien que classé agent de l’étranger par la justice russe. En Estonie, c’est l’israelo russe, Linor Goralik qui a été censurée du festival Prima Vista.
Mais la campagne touche aussi la France, avec une attaque lancée par le ministre de la culture du régime Zelenski et l’association nationaliste Promo Ukrainia, qui a visé le festival Arsmndo organisé par l’Opéra national du Rhin à Strasbourg. Nous rendions compte précédemment d’autres actions de censure (lire ici : Censure au Mans, l’exposition de peinture Anastasia Vorobeï interdite).