M. le Médiateur,
Je voudrais réagir à propos de ce qu’il faut bien appeler une « mauvaise action » concernant le traitement réservé ce soir au 20h de France 2 par M. Pujadas à la très grave question de la version officielle du 11 septembre.
Il s’est étonné que 10 ans après les événements il y ait toujours… 15% de « complotistes » et le dossier présenté ensuite apparaît comme le comble de la manipulation.
Il y a 52% d’Etasuniens qui, sans prétendre le moins du monde qu’il s’agit d’un complot, estiment qu’on ne leur a pas dit la vérité sur le 11 septembre. Mais M. Pujadas -comme la plupart des journalistes, il faut le reconnaître- ne veulent retenir que la théorie du complot, ça leur permet d’éluder le problème. Ce que demandent ceux qui doutent -je souligne le mot « doute »- c’est seulement que les médias et, en l’occurrence France 2- ouvrent honnêtement -soulignons à nouveau le mot « honnêtement »- le débat sur cette question.
Il est évident que de nombreux éléments sont à éclaircir, pourquoi en 10 ans n’a-t-on jamais eu le courage d’accepter que les uns et les autres débattent. Dire qu’il ne se pose aucun problème n’est pas sérieux. Parmi d’innombrables questions, n’en retenons qu’une seule : d’une manière générale, et à nouveau dans le reportage qui fait soi-disant la lumière sur ces événements, il n’est nullement question de la 3ème tour effondrée à NY ce jour-là, la WTC7, et pour cause, aucun avion ne l’a percutée ni quoi que ce soit et elle s’est affaissée strictement de la même manière que les 2 dont on nous rebat les oreilles. Y a-t-il eu des morts ? Aucune idée. Avait-elle été libérée préventivement de ses occupants ? Savait-on alors qu’elle allait s’effondrer alors qu’elle était située à 2 ou 300 mètres et qu’elle n’était pas la seule dans ce périmètre. Inutile de continuer…
La télévision se grandirait à accepter une bonne fois (au moins !) la confrontation des arguments plutôt que de traiter cette affaire par le mépris et faire croire, comme l’a prétendu l’auteur du dossier, qu’il n’y a que des personnalités sans compétence qui discutent la version officielle. On sent très nettement que quelque chose gêne dans cette affaire. Quoi exactement ? Je vous remercie de bien vouloir faire ce qui est en votre pouvoir pour une meilleure transparence, le mot est à la mode !
Je vous prie de croire, M. le Médiateur, en mes meilleurs sentiments.