Un camarade, Jean-Pierre, a été pris comme beaucoup d’un coup de colère en entendant les propos d’un autoritarisme virulents et d’une violence proprement fascisante de Macron. Il nous a fait parvenir ce billet d’humeur au soir du 12 juillet, que nous publions pour alimenter le débat.
MAJ le 1/08/2021
Le problème médical n’est pas de prédire l’évolution de l’état des malades, mais de constater l’état actuel de chaque patient, de lui prescrire les soins pertinents dans son cas, c’est-à-dire les soins susceptibles de le guérir : pendant l’année 2020, ceux des médecins français qui ont désobéï au gouvernement et prodigué leurs soins aux patients qui se présentaient à eux ont guéri ou accélérer la guérison des régiments de malades du CoV-2.
Quant aux « formes graves », l’expérience que nous avons accumulée en 2020 nous montre qu’elles ne sont pas les premières à apparaître : elles suivent les premiers symptômes à quelques jours d’intervalle (trois ou quatre jours), et je ne connais pas de médecins qui, recevant un patient présentant les premiers symptômes, soit capable de lui dire : « attendez, pour être soigné, que les symptômes s’aggravent! » ce médecin manquerait gravement à ses devoirs professionnels et humains!…
Il est vrai que le gouvernement français tout entier a tenu ce langage devant tous les Français que nous sommes, aux mois de mars et d’avril 2020!… C’était criminel, et tenir encore ce même langage est encore plus criminel !…
Ce qui est anti-social, c’est ce gouvernement qui loin de mettre en place la politique sanitaire globale de la prévention au soin des malades ne s’efforce que par la contrainte liberticide d’écouler les stocks de vaccins quasi exclusivement américains achetés à prix d’or par l’Union Européenne auprès de multinationales !…
Ce qui est anti-social, c’est de dérembourser les tests de dépistages, et de refuser de mettre en place une large politique de dépistage rapide, efficace, économique, et accessible, notamment par le dépistage salivaire rapide, pourtant une innovation française développée par le CNRS depuis mai 2020, indispensable pour des soins au plus tôt les plus efficients !
Ce qui est anti-social, c’est de cacher aux habitants de la France que des soins existent, en commençant par l’hygiène, en continuant par le suivi médical immédiat des infectés, notamment de l’oxymétrie, pour leur hospitalisation la plus précoce possible, ainsi que des traitements médicamenteux utilisant des molécules bien connues, sans oublier la prophylaxie non médicale. Il faut pour cela laisser et demander aux médecins de faire leur métier, soigner, plutôt que d’abandonner les malades chez eux, sans aucune aide pour leur isolement, et avec pour seul suivi qu’une boite de doliprane et un renvoi au 15 !
Ce qui est anti-social, c’est de cacher aux habitants de notre pays qu’un laboratoire poursuit, malgré tout, la mise au point d’un vaccin produit par la technologie vaccinale classique qui écarte de lui les problèmes que nos compatriotes, avec d’autres, ont rencontré à cause d’Astra-Zeneca, de Pfizer, de Moderna et de quelques autres. De cacher que Cuba a développé deux vaccins à protéines unitaires très efficace (90%) et sans technologie de génétique…
Ce qui est anti-social, c’est de refuser de reconnaître la protection que procurent aux femmes et aux hommes les vaccins chinois et russes, sous prétexte qu’ils sont chinois ou russes !
Ce qui est anti-social, c’est de cacher aux habitants de notre pays que des laboratoires mettent actuellement au point de nouveaux médicaments à utiliser si l’on tombe malade et que l’on n’est pas vacciné (peut-être même aussi dans le cas où l’on aurait été vacciné, mais je n’en jurerais pas!), l’un fondé sur des anticorps monoclonaux, l’autre sur des anticorps polyclonaux, ou encore à base d’anti-infectieux bien connus
Bref, ce qui est anti-social, c’est ce que notre gouvernement continue de faire : continuer de mentir en prétendant qu’il n’y a pas de traitements qui permettent de soigner les malades avant même que les vaccins existent, refuser de mobiliser toutes les possibilités de guérir les malades à tous les stades de la maladie, notamment sans attendre l’hospitalisation tardive, et pousser toute la population à utiliser seulement les vaccins anti-SARS-CoV-2 américains qui comme tous médicaments ne sont pas sans problèmes, y compris graves parfois !…
Ce gouvernement a commis trop de fautes contre la médecine et contre notre conscience : il ne mérite pas d’être obéi !
Jean Pierre Combe
Une nouvelle tribune de Jean-Pierre Combe le 25 juillet 2021
Pass’sanitaire : fascisant, le pouvoir se radicalise !
et pour alimenter le débat la rédaction formule ces quelques observations en réaction à cette tribune
Sur les vaccins disponibles : Cuba a déjà indiqué qu’elle ne fournira pas son vaccin aux pays capitalistes développé mais en réserve la diffusion aux pays pauvres. La Chine n’exporte pas ses vaccins inactivés vers la France. Il semble qu’en raison de son efficacité plus faible, elle se dirige vers la fabrication sur son sol du vaccin à ARN Pfizer, via son entreprise FOXCOM, sachant que pour ses forces armées elle utilise déjà un vaccin à ARN développé et produit en Chine. En pratique pour la France, le seul vaccin « bloqué » est le vaccin russe, point largement traité dans nos colonnes. Technologiquement c’est cependant un strict homologue de jonhson et oxford-astrazenaca, avec sans doute une meilleure efficacité due à ses deux antigènes au lieu d’un pour ces deux derniers.
Sur l’efficacité des vaccins face aux variants : les données chiffrées qui ont été publiés à l’étranger indique une efficacité en légère baisse sur la prévention du développement d’une maladie symptomatique : 64% en Israël contre 90% entre souche historique et variant delta mais conservation de leur efficacité contre les formes graves (ce qui est la cible première d’un vaccin),de l’ordre de 80 à 90% en observation réelle. Par ailleurs en faisant chuter la réplication virale, mécaniquement les vaccins devraient atténuer le risque d’avoir des variants plus contagieux et agressifs. Certains infèrent que les virus évolueraient mécaniquement vers une moindre dangerosité. Cela ne parait pas juste scientifiquement. D’une part car les apparitions de variants plus dangereux du covid (brésilien, sud africain, anglais, indien, sans parler des variants français ou danois) battent en brèche par des contre exemple évidents cette théorie, d’autre part car les mutations du virus à ARN sont aléatoires. C’est celle donnant une meilleure capacité de réplication dans le milieu cellulaire et de contagiosité via le milieux extérieur qui ont un avantage évolutif. Bref, celles qui sont les plus contagieuses. Et celle ci peuvent être plus létales (cas du variant anglais).
Sur comparaison du contrôle d’un statut épidémique ou vaccinale à celui d’une discrimination raciale. la comparaison apparaît profondément erronée. En effet, la couleur de peau n’a rien à voir avec une maladie contagieuse, un tel parallèle est profondément inapproprié et choquant. C’est une constante des sociétés humaines que de fixer des mesures collectives de contrôle des épidémies, ce qui n’a rien de discriminatoire à condition que seule le statut infection soit en cause. La seule question qui vaille en la matière est celle de leur efficacité. Il reste qu’un infecté contagieux peut et doit évidemment être distingué d’un non infecté non contagieux. Le sujet étant que le pass sanitaire tel que défini par Macron pose profondément problème sur ce point car il favorise la libre contamination par les vaccinés contagieux, sans qu’il n’y ai à ce stade d’élément probant sur la non contagiosité suffisante des vaccinés.
Pass’sanitaire : fascisant, le pouvoir se radicalise !
Le 25 juillet 2 021 ; Jean-Pierre Combe
Depuis sa candidature à la Présidence de la République, la propagande de Monsieur Macron est mensongère et fascisante. Comment parvient-il à la faire passer, à obtenir que des millions de nos concitoyennes et concitoyens le laissent faire ?
C’est assez simple : il a réuni un certain nombre de personnages bardés de titres académiques et a baptisé « comité scientifique » cette réunion.
Délibérant au nom de la science, mais en secret, pour autant qu’elle délibère, cette réunion participe aux décisions que prennent les gens qui nous gouvernent.
Or, notre peuple a conçu et cultivé depuis les siècles des Lumières, puis tout particulièrement au cours des six ans qu’a duré la Révolution française, un tel respect de la pensée scientifique que les déclarations macroniennes de scientificité font taire jusqu’aux plus profondes objections que la vie qui nous est faite nous inspire contre les restrictions à nos droits essentiels qu’il nous impose !
Cela me heurte et me scandalise en tant que citoyen français, et cela devrait suffire à faire monter le scandale et le rejet de ce mode de gouvernement.
Mais je vois bien que cela ne suffit pas !
Alors excusez-m’en, mais dans ces conditions, je dois placer mes titres dans le plateau populaire de la balance : je suis un ancien élève de l’école publique et laïque : à l’école, puis au lycée, j’ai appris à ouvrir au monde mes yeux, mes oreilles et mon âme, comme disent mes amis et camarades croyants, en même temps que j’apprenais la pensée rationnelle et la démarche scientifique de connaissance.
Croire qu’un potache (collégienne, collégien, lycéenne ou lycéen) puisse passer sa scolarité sans rien connaître de la société qui l’entoure, est une étrange représentation de la vie, pleine de chances mauvaises !
J’étais interpelé en effet, en même temps que j’étudiais, par les évènements de la vie sociale et politique de notre pays ; j’étais en classe de quatrième[1] lorsqu’un de mes camarades de lycée me parla, à propos de cette actualité, du rôle, important à ses yeux, joué dans l’histoire sociale par les personnalités de Marx et d’Engels.
A l’occasion de vacances d’été, j’en parlais dans ma famille ; je me procurais aussi un peu de littérature dans laquelle j’ai pu prendre connaissance de premiers principes de ce que nous appelons « la philosophie marxiste » : immédiatement, je saisis l’identité du matérialisme de Marx et du principe scientifique de la vérité, grâce auquel il est possible d’étudier les sciences sans connaître les biographies des savantes et des savants (encore que parfois, cela peut aider, de savoir que les gens de science sont des êtres humains comme vous et moi).
Je dois dire que la dialectique fut plus longue à faire son chemin dans mon esprit, tant est épaisse la carapace, je dirai le blindage de métaphysique dont les études collégiennes et lycéennes garnissent les têtes des potaches dont j’étais !
J’étais jeune lycéen lorsque je donnai mon adhésion au mouvement de la jeunesse communiste de France ; à ce moment, la propagande de l’idéologie qui dominait la France ouvrait toutes grandes les vannes de l’exploitation du discours prononcé par le premier secrétaire du Parti communiste de l’Union soviétique Nikita Serguéiévitch Khrouchtchev devant le vingtième congrès de son parti. Il n’est pas nécessaire de développer ici les effets de ce torrent de propagande dominante : je dirai seulement que le matérialisme dont je comprenais parfaitement la nécessité m’a tenu à l’écart de ses tourbillons étourdissants, en même temps que ce torrent lui-même, avec ses tourbillons, m’invitait à rompre le blindage métahysique, à m’en libérer et à faire du mouvement le fondement de ma vie spirituelle.
Pratiquement, ce sont le matérialisme, que charpentait fortement l’astronomie, la géologie, la physique, la géographie que j’étudiais au lycée, joint à l’ébauche de dialectique à laquelle je commençais de me confronter, qui m’ont tenu à l’écart des polémiques suscitées autour du « culte de Staline ». Lorsque j’eux dix-huit ans, je donnai mon adhésion au parti communiste français.
Bachelier de mathématiques élémentaires, ayant préparé en classes de mathématiques supérieures, puis de mathématiques spéciales, les concours d’entrée aux Grandes Ecoles, j’ai poursuivi mes études à l’Ecole Polytechnique, dont je suis devenu ingénieur diplômé en 1 964.
J’ai ensuite étudié la physique des particules de haute énergie à Orsay, puis l’informatique à Toulouse, où j’ai rédigé et défendu une thèse de troisième cycle, d’un niveau très comparable au Ph.D. anglo-saxon, sur la traduction automatique du discours humain, et où j’ai élargi le champ de mes études par la fréquentation d’un séminaire de dialectologie gasconne.
Depuis une soixantaine d’années, depuis mon adhésion au PCF, je ne cesse de développer mon exigence matérialiste d’envisager le monde tel qu’il est, et non tel que moi ou d’autres voudrions qu’il soit, m’appuyant pour cela sur l’aide que les camarades quelque fois intellectuels et le plus souvent paysans et ouvriers qui me précédaient dans le parti ne me marchandent pas, et m’efforçant d’entraîner les camarades de ma génération à faire de même : de là vient mon habitude de pourchasser, de détruire les idées préconçues, les préjugés qui faussent les raisonnements, aussi bien les miens que ceux des partenaires de mes discussions.
La chasse aux préjugés n’est pas une spécialité marxiste : elle est inscrite dans la culture progressiste depuis les siècles des Lumières ; c’est l’un des principes les plus efficients de la Révolution française, et c’est aussi une tâche nécessaire de tout militant de la laïcité…
Au cours de ce demi-siècle, les discussions avec mes camarades et avec mes amis sympathisants communistes me font apprécier toute la valeur de la conception marxiste globale de la révolution que les communistes se font un devoir de préparer dès à présent ; nous l’appelons le socialisme scientifique par opposition aux socialismes utopiques, qui sont des rêves de socialisme.
Le socialisme scientifique consiste à penser scientifiquement les transformations des sociétés humaines ; c’est la théorie de la révolution nécessaire à l’humanité pour libérer les travailleuses et les travailleurs des chaînes de l’exploitation et de l’oppression capitalistes.
C’est la théorie féconde de la critique des sociétés d’inégalité, de leurs transformations et de l’élaboration politique concrète du socialisme.
Faire vivre cette idée conduit à débusquer les arguments d’autorité sous tous leurs déguisements formellement scientifiques ; nous y parvenons en critiquant à la lumière du matérialisme et de la dialectique ce que devient la science lorsqu’elle est confinée dans quelque compartiment académique universitaire, ainsi que dans les compartiments blindés du secret industriel : cela intéresse toutes les militantes et tous les militants communistes.
Que personne ne s’en étonne : de penser scientifiquement le socialisme nous donne toute la légitimité nécessaire pour mettre en cause la politique sanitaire que les gouvernements réactionnaires de la France planifient depuis 1 947, qu’ils ont initiée vers 1 960, qu’ils développent depuis, et que les derniers en date de ces gouvernements viennent d’accélérer singulièrement…
Oui, le socialisme scientifique donne aux communistes la légitimité de raisonner scientifiquement la politique, et donc, de mettre en cause les prétentions scientifiques de Monsieur Macron et des membres des comités dits scientifiques de son gouvernement.
En décembre 2 019, l’avènement de la pandémie de SRAS-CoV2, dite du coronavirus, a vu la propagande du régime macronien évoluer de mensonge en mensonge, et depuis quelques jours, nous sommes témoins de sa radicalisation.
Les premiers de ces mensonges étaient d’affirmer qu’en l’absence d’informations diffusées par le gouvernement chinois, nul ne savait quel en était l’agent pathogène, comme si les laboratoires français d’analyse biologique, en particulier ceux des services de santé militaires, que ce soit celui de l’Armée de Terre ou celui de la Marine Nationale, étaient incapables de procéder aux observations et analyses que la situation rendait nécessaires.
A ce premier mensonge, notre gouvernement en enchaînait aussitôt un deuxième, selon lequel l’agent pathogène étant inconnu, les malades ne pouvaient pas être soignés.
Ce deuxième mensonge a servi de raison à deux injonctions diffusées au mois de mars par des voies non officielles mais efficaces,
- aux médecins, de ne pas recevoir leurs patients en consultation, et de leur recommander de s’isoler chez eux avec une réserve de « Doliprane », dont nous savions déjà tous qu’il est totalement inefficace contre les infections respiratoires, et de plus, qu’il est dangereux pour la santé, du fait de son action sur le fonctionnement du foie…
- aux citoyennes et aux citoyens, de ne pas consulter leurs médecins, mais de s’isoler et d’attendre que leurs symptômes s’aggravent, pour enfin appeler le numéro téléphonique des urgences, le 15…
Emises simultanément, destinées à être appliquées ensemble, ces deux injonctions signifiaient sans ambigüité que notre gouvernement refusait de soigner les malades. Or, de tous temps, toutes les sociétés, même les plus barbares, considèrent qu’il est criminel de refuser de soigner les malades…
Et aujourd’hui, après dix-neuf mois de pandémie et quatre à six mois de campagnes de « vaccination », nous constatons que les pays auxquels la pandémie inflige le plus de morts, proportionnellement à leur population, sont les pays qui ont refusé de soigner les malades (Brésil, USA,… et aussi la France, hélas…) !
Dès les premiers jours de janvier 2 020, le mensonge des gouvernements de Monsieur Macron était devenu extrêmement grossier : en effet, les autorités sanitaires de la Chine avaient communiqué à l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) l’« identité » (la séquence ADN) du virus causant cette pandémie !
Notre gouvernement aggravait encore son mensonge en laissant passer plusieurs semaines avant de reconnaître que le gouvernement chinois avait fait cette communication !…
Et aujourd’hui, le gouvernement macronien s’entête dans le mensonge : il continue de prétendre que, sauf la « vaccination », aucun soin, ni préventif, ni précoce, ne peut guérir beaucoup de malades avant hospitalisation, éviter à beaucoup d’hospitalisés d’être réanimés,… il continue de prétendre que les médecins ne peuvent prescrire aux malades aucun traitement rationnel qui rendrait exceptionnelle la mort des malades du SRAS-CoV2.
Aujourd’hui, le gouvernement de Monsieur Macron ajoute un « argument » à sa propagande : « la vaccination d’urgence serait le seul moyen de sortir de la pandémie » !…
Pourquoi « d’urgence » ?
Je pose cette question parce que le laboratoire pharmaceutique français SANOFI nous annonce un vaccin contre le SRAS-CoV2 qui sera produit par des méthodes classiques, dont les effets sont bien connus depuis l’existence même des vaccins, et dont les essais nécessaires à leur mise sur le marché sont régulièrement conduits et seront achevés à la fin de cette année.
Je remarque aussi que le gouvernement macronien refuse aussi de reconnaître l’immunité acquise par les anciens malades du SRAS-CoV2 qui sont nombreux dans ce pays : l’urgence dans laquelle il nous plonge ainsi pour nous faire tous vacciner est évidemment suspecte : elle ressemble à un refus de nous voir employer d’autres vaccins que ceux d’Astra-Zeneca, de Pfizer, de Moderna et de Johnson&Johnson, dont il a acheté et payé des stocks fabuleux…, ainsi qu’à un refus de voir les malades guéris échapper à la vaccination : à ceux-ci, il concède seulement qu’une seule dose de vaccin leur suffira, au lieu de deux ou de trois…
Pourquoi nous imposer ces quatre vaccins alors qu’un vaccin chinois (SINOVAC) et un vaccin cubain (ABDALA), tous deux produits comme étaient produits les vaccins lorsque la vaccination a été inventée, ont été validés par l’Organisation mondiale de la santé et sont disponibles ?
Pourquoi cette déclaration d’urgence et pourquoi vacciner tout le monde ? Et pourquoi notre gouvernement renforce-t-il encore son terrorisme ?
Cela ressemble fort à une tentative de vaccination forcée, et je rappelle qu’en droit commercial, la vente forcée est un délit !…
Et puis pourquoi refuse-t-il de reconnaître cette vérité scientifiquement établie par des années de pratique de la vaccination contre la grippe que les vaccins établis pour la souche initiale d’un virus épidémique sont inactifs contre ses mutations, à l’exemple, pour le virus CoV2, du variant DELTA et du variant LAMBDA qui rendent malades aussi bien les personnes qui ont été vaccinées que celles qui ne l’ont pas été ?
La radicalisation du macronisme
Les informations inscrites dans le « pass’ sanitaire » sont illégitimes et douteuses : il faut donc les critiquer ; mais ce n’est pas le pire !
Le pire, c’est que ce « pass’ sanitaire » introduit une discrimination entre d’une part les citoyens possesseurs de ce « pass’ » et d’autre part ceux qui ne le possèderont pas.
Déjà, l’accès à quantité de boutiques, de commerces, de lieux culturels, à tous les services de l’Etat sera, ou est déjà, réservé aux premiers et interdit aux seconds.
Cette règle est exactement celle qui réservait aux citoyennes et citoyens à peau blanche l’accès à certains commerces, à certains services, aux bureaux de vote, et interdisait cet accès aux citoyennes et citoyens à peau noire : cette règle était naguère en vigueur aux USA, notamment dans les Etats du sud.
C’est exactement la règle contre laquelle luttaient le chanteur Paul Robeson, la chanteuse Joan Baez, la militante intellectuelle et communiste Angela Davis, le pasteur Martin Luther King, avec beaucoup d’autres…
Décidément, c’est bien vers le fascisme que va la radicalisation du macronisme !…
Pour lutter contre le fascisme renaissant, examinons l’argument de la radicalisation
Un seul argument justifie l’obligation vaccinale et le « pass’ sanitaire » : l’assertion que la vaccination de presque toute la population par les vaccins Astra-Zeneca, Pfizer, Moderna et Johnson&Johnson serait le seul moyen d’en finir avec la pandémie du SRAS-CoV2.
Cet argument est faux…
D’abord, deux pays étrangers nous proposent déjà deux vaccins, le chinois SINOVAC et le cubain ABDALA, et le laboratoire français SANOFI nous proposera bientôt un vaccin : tous les trois sont et seront beaucoup moins dangereux que les quatre adoptés et promus par l’Union européenne, et que prétend nous imposer le gouvernement Macron.
Ensuite, nous pouvons nous soigner et le plus souvent guérir du SRAS-CoV2 au moyen d’autres soins que la vaccination, qui existent, sont nombreux et efficaces.
Je classe ces soins non vaccinaux en deux catégories :
- ceux qui permettent la prévention de l’infection, d’une part en assurant la désinfection des voies repiratoires (depuis le nez et la bouche jusqu’aux bronches et aux bronchioles), d’autre part en renforçant notre immunité naturelle (c’est l’action de la vitamine D et d’autres vitamines, ainsi que celle du zinc),
- les médicaments dont le rôle est de concourir avec notre immunité naturelle à la destruction directe du virus ; ceux-ci doivent être administrés précocement.
…comme sont faux tous les arguments de la propagande gouvernementale
En effet, tous les arguments de la propagande gouvernementale sont fondés sur le principe posé a-priori que les propriétés du virus CoV2 et de ses mutations se maintiennent au fil du temps telles qu’elles ont été mises en évidence par la première épidémie de SRAS-CoV2, c’est-à-dire que toutes les propriétés des virus issus de mutations sont les mêmes que celles du virus-souche : or, cela est faux, et d’ailleurs contraire au fait que les virus sont des êtres vivants comme nous le sommes nous-mêmes !…
Ne nous laissons pas berner !
- un mensonge proféré avec aplomb reste un mensonge ;
- un mensonge répété par les « média » à saturation des auditeurs, parce que les « média » en ont reçu l’ordre, reste un mensonge !
Ne les laissons pas nous désespérer !
Contre le désespoir l’histoire nous a bien souvent montré que la sauvegarde est de connaître la vérité : donc, propageons la connaissance, son mouvement scientifique et les résultats qu’elle a atteints, même si ces résultats apparaissent incertains !
En vérité :
- les virus sont des êtres vivants qui ont un début (un avènement), une vie au cours de laquelle ils se transforment (c’est en se transformant qu’ils existent), une fin (une disparition) ;
- le mode de l’existence des virus est de muter dans les organismes qui les hébergent ;
- les virus interagissent avec leur hôte ; cette interaction est faite d’une action du virus sur l’organisme qui l’héberge, laquelle peut produire ou ne pas produire une maladie, et d’une action en retour de l’hôte qui provoque une mutation du virus ;
- les mutations des virus font évoluer plus ou moins vite leurs propriétés ; je crois savoir que la médecine a souvent observé qu’au fil de leurs mutations, les virus pathogènes deviennent de moins en moins pathogènes, de moins en moins virulents, jusqu’à l’inocuité finale ; sauf en présence d’un médicament inapproprié (tel le REMDÉSIVIR) ou d’un « vaccin » à ARN messager…
- il se peut aussi que certains virus soient cycliques à plus ou moins long terme ; peut-être est-ce le cas du CoV2…
- certains laboratoires pharmaceutiques font correctement leur travail dans le respect des malades et des médecins qui portent la responsabilité de soigner les malades (c’est le cas aujourd’hui en France de SANOFI, en Chine de celui qui produit SINOVAC, à Cuba de celui qui produit ABDALA).
Conclusion
Le gouvernement au service du capital a réussi à nous faire craindre de nous rencontrer les uns les autres : rejetons cette crainte et rapprochons-nous !
Le plus grand danger que court le peuple français dans cette pandémie, n’est pas la réelle menace de la maladie du SRAS-CoV2, mais la destruction du service public de santé par le gouvernement du président Macron : cette destruction en cours est le plus formidable allié de la maladie et de toutes les autres maladies qui nous frapperont dans l’avenir : aucune vaccination ne peut compenser la destruction de notre service public de santé ; la politique conduite par Monsieur Macron ne nous protège ni de cette maladie, ni des autres ; au contraire, elle nous y expose en détruisant nos défenses sociales.
Donc surtout, ne cessons pas de discuter politique et d’élaborer la politique sanitaire par laquelle notre peuple se protègera en même temps des maladies et de la destruction macronienne de notre service public de santé et de notre nation ; il ne faut pas que Monsieur Macron ni celles et ceux de son équipe emportent leurs méfaits en paradis !
Faisons connaître la position du PRCF, l’Alternative Rouge et Tricolore, les propositions que fait Fadi Kassem en notre nom à l’occasion des prochaines présidentielles.
[1]Le lycée s’étendait alors de la classe de sixième à la classe terminale ; ce n’est que plus tard que les quatre permières classes en ont été séparées pour créer les collèges.