Emmanuel Macron serait-il un agent liquidateur de la France, de la langue française et de la Francophonie travaillant non pas pour notre pays, mais pour l’oligarchie euro-mondialiste ?
Quoi qu’il en soit, à l’Afrav (Association FRancophonie AVenir), nous savons qu’il ne travaille pas pour la langue française et la Francophonie mondiale. En cela, son « Choose France » pour accueillir les investisseurs étrangers en France à Versailles, en témoigne.
« Choose France » est une marque déposée par l’État français auprès de l’INPI, l’Institut national de la propriété industrielle, une marque que l’Afrav a attaquée en justice au titre de l’article 14 de la loi Toubon et que l’État a défendue, et continue de défendre bec et ongles devant les juges.
Mais que l’on ne s’y trompe pas, derrière la marque « Choose France » comme derrière d’autres marques à connotation anglaise de l’État français : « La French Tech », « Next 40 », « Health Data Hub », « French Impact », etc., se cache une politique de destruction de notre langue.
Macron a dit qu’il n’y avait pas de culture française, va-t-il nous dire bientôt qu’il n’y a pas de langue française, pas de francophonie ?
L’écroulement de l’enseignement du français dans notre système scolaire, la mise en place parallèlement à ce désastre de l’apprentissage obligatoire de l’anglais dès l’école primaire, une politique de bilinguisation français-anglais de notre paysage linguistique pour rendre le français inutile à tout étranger non francophone visitant notre pays et pour persuader les Français, eux-mêmes, que leur langue est un handicap puisqu’elle ne peut plus se suffire par elle même, une préférence à défendre les intérêts de l’Union européenne pro-atlantiste et pro-Otan à ceux de la France et des Français, un alignement servile sur tout ce qui se dit et se fait à Washington, une politique d’arrogance et de donneur de leçons à l’international, et notamment en Afrique francophone, voilà les ingrédients distillés et entretenus par la Macronie pour transformer la France rayonnante en astre mort.
Les évènements récents en Afrique, au Mali et au Niger, où la France est désormais conspuée et haïe, montrent clairement que la politique africaine de Macron est un désastre, une Bérézina.
La question que l’on pourrait se poser, tout de même, serait de savoir si cette politique est une politique délibérée pour tuer la Francophonie africaine, pour la liquider comme il a liquidé Alstom et bien d’autres fleurons de l’industrie française aux profits de l’oligarchie américano-euro-mondialiste.
Si nous étions en démocratie, si les parlementaires français faisaient leur travail, si nos politiciens pensaient plus à la France qu’au renouvellement de leurs mandats, ils demanderaient des comptes au président Macron, le priant de s’expliquer sur sa politique anti-française et anti-francophone, le menaçant même de le destituer en brandissant l’article 68 de la Constitution.
Mais voilà, les grands ténors qui font la politique française semblent bien timides sur le sujet, à se demander s’ils ne sont pas tous complices de la politique de Macron d’autodestruction de notre pays.
Heureusement, il y a les Africains qui, par leur légitime révolte, sont en train de mettre les points sur les « i » au blanc-bec qui liquide actuellement la France.
Il ne reste plus qu’à espérer qu’ils s’emparent de la langue française comme les États-Uniens se sont emparés de l’anglais, une action qui barrerait la route à ceux qui en France, à l’image de Macron, veulent reléguer la langue française au rang d’une langue régionale, dans une Europe anglophone et soumise au dictat anglo-américain.
Vive l’Afrique libre !