On présente souvent le néolibéralisme qui imprègne les traités supranationaux euro-atlantistes comme une nouvelle forme du « libéralisme » du XIXème siècle. On a alors toutes les peines du monde à expliquer pourquoi les sociétés néolibérales sont de plus en plus fliquées, militarisées, intrusives…
Georges Gastaud montre ici que le néolibéralisme si mal nommé est en réalité un nouvel habillage très souvent fascisant et militariste du Capitalisme Monopoliste d’État parvenu à l’âge des fusions transcontinentales et des Empires continentaux.