Ça ne lui suffisait plus d’avoir trahi la gauche en faisant une politique de droite, d’avoir trahi la France, dont il fut le Premier ministre, et sa circonscription francilienne, dont il fut le députéfantôme, pour se parachuter à Barcelone. Voilà maintenant que Valls, dont tous nos grands « politologues » faisaient un grand « laïque républicain » (puisqu’il le disait, c’était forcément vrai!), défile maintenant en Espagne aux côtés de la droite et de l’extrême droite issue du franquisme. Il veut défendre « l’unité de l’Espagne », lui qui, en France, était pour le découpage du pays en euro-régions et en « métropoles ». Est-ce pour combattre l’indépendantisme catalan, ou pour rassembler derrière lui toute la réaction castillane et catalane et faire main basse sur Barcelone en chassant la maire de gauche en place ?
VALLS JUSQU’AU BOUT DE LA TRAHISON TOUJOURS !
Bref, chez les arrivistes, il n’y a que la première trahison qui coûte…
Et dire que c’est cet individu que Hollande et les « socialistes » avaient mis à la tête du pays et de la « gauche de gouvernement », fable que les Patrick Cohen, les Demorand et autres grands prêtres du conformisme médiatique ont défendu sans sourciller quand ce triste sire dirigeait notre pays déboussolé…