2 septembre 2013
Cela devient une habitude dans la dictatoriale UE de Maastricht et en conséquence, dans la province européenne de France « gouvernée » par le Parti Maastrichtien Unique (PS, UMP, Centre, « verts ») : quand le peuple vote « mal », on ignore son vote, l’ « élite autoproclamée » décide à la place des gens et le principe de souveraineté nationale et populaire est méthodiquement piétinée.
Nous faisons juges les visiteurs de notre site de l’information ci-dessous, en provenance d’une association alsacienne républicaine : si elle était confirmée, cela confirmerait que notre pays n’est plus qu’une dictature oligarchique grossièrement travestie en démocratie.
Français d’Alsace et des autres régions, réagissez, la République, la Nation, tous les acquis sociaux et démocratiques sont en danger.
A lire sur le site :
Eh bien, non !
Ce sera « Oui » quand même…
Le 7 avril dernier, le projet de Collectivité Territoriale d’Alsace (fusion des deux départements du Haut-Rhin, du Bas-Rhin et de la Région Alsace) était doublement rejeté par referendum, malgré le soutien de l’immense majorité de la classe politique locale, à droite comme à gauche. Le « oui » des Bas-rhinois n’atteignait pas les 25% d’inscrits nécessaires et l’inattendu « non » des Haut-rhinois faisait l’effet d’une claque, avec 55%, là où les sondeurs l’annonçaient à 26 points de moins, à peine un mois avant. Et pourtant… l’affaire prend un nouveau tour, à une échelle de plus en plus nationale. Les Haut-rhinois ont dit non : ils ont donc mal voté. Mais les gentils politiciens vont réparer l’erreur de ces malotrus. Quand bien même la publicité pour le oui a été très pauvre et les arguments pour le non plutôt fournis, notamment sur le net qui a joué un rôle crucial… Et quant aux autres citoyens français, on ne leur demandera dorénavant plus leur avis. De peur qu’ils soient aussi bêtes que les autres. Mais pour qui se prennent nos élus ? Et pour qui nous prend-on ?
Pour lire l’article entier : Conseil d’Alsace – Eh bien, non ! Ce sera « Oui » quand même…
Eléments d’analyse proposés par Mathieu Lavarenne, président du Cercle Républicain 68 Edouard Boeglin et conseiller municipal indépendant dans un petit village alsacien.