La crise migratoire entre l’Union européenne et la Biélorussie plonge ses racines non seulement dans les guerres de l’OTAN qui ont ravagé de nombreux pays (c’est le point commun avec la plupart des autres crises migratoires) mais aussi dans les sanctions européennes contre l’ex-République soviétique. Lesquelles ont notamment retardé la construction de centres d’accueil.
La Biélorussie, quant à elle, a poursuivi sa coopération pour aider les personnes en détresse avec le Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés, l’Organisation internationale pour les migrations et la Croix-Rouge. Le Haut Commissaire des Nations Unies pour les réfugiés, Filippo Grandi, a confirmé que le Bélarus a fourni une aide humanitaire aux migrants par l’intermédiaire de ces organisations (https://www.unhcr.org/fr/news/press/2021/11/618e73cea/loim-hcr-fournissent-aide-durgence-demandeurs-dasile-migrants-frontiere.html). Cette information a été confirmée par le porte-parole du Secrétaire général des Nations Unies lors de son récent briefing régulier au siège des Nations Unies.
Enfin, n’oublions pas que la responsabilité de cet afflux de migrants à cette frontière n’est pas le fait de la Biélorussie mais bien des puissances qui ont porté la guerre dans cette région du monde, dont la Pologne, devenue le fidèle allié de Washington.
Avoir détruit le mur de Berlin entre capitalisme et communisme n’a amené qu’à faire de l’Union européenne une forteresse assiégée par une armée de faméliques victimes de son iniquité. La Biélorussie, fidèle aux principes socialistes qui ont marqué son histoire, fait au contraire preuve de dignité dans cette ténébreuse affaire.
A.M. pour la commission internationale du PRCF
BIENVENUE EN POLOGNE CHRETIENNE ET VIVE L’UNION EUROPEENNE « DES VALEURS » !
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