La propagande fanatique des chien(ne)s de garde
Le désarroi ne cesse de progresser au sein des chien(ne)s de garde médiatique qui, tout imbibés d’idéologique euro-atlantiste, capitaliste et antisyndicale, ne savent plus que faire pour discréditer autant que possible le vaste mouvement de grève qui se prépare ce 5 décembre.
Les dénigrements, lors des entretiens directs avec des politiques, syndicalistes, travailleurs, etc., ou au cours des émissions au sein desquelles les éditocrates « analysent » les raisons de la grève, se multiplient pour condamner la « grogne », le « corporatisme », les « régimes spéciaux », la « désinformation » – remarquons pourtant que la désinformation vient en réalité de la macronie[1] et bien entendu des grands médias eux-mêmes[2] –, la « prise d’otage des usagers », l’« atteinte à la liberté de circulation », les « blocages », les « violences » – qui, forcément, ne viennent que du camp des « protestataires »… Bien entendu, tout ceci est le résultat d’une « communication » qui n’a pas été bien comprise, d’un « besoin de pédagogie » pour bien expliquer aux salarié(e)s qui n’ont « pas compris » et se laissent « manipuler ». Ah, le libre arbitre et la faculté de juger qui n’appartiendraient qu’au gouvernement et aux médias dominants ! C’est à se demander à quoi sert l’école pour les élèves : semble-t-il, ne pas apprendre à développer son esprit critique et à exercer son rôle de citoyen pas seulement lors du sacro-saint jour de vote…
L’un des derniers à avoir testé le joli numéro de claquettes et de discrédit traditionnel des médias à l’encontre des interlocuteurs récalcitrants est Éric Coquerel, qui a eu droit de surcroît au traitement de plus en plus infligé par les chien(ne)s de garde aux citoyens exprimant un avis contraire à la (non-)pensée des Torquemada des chaînes d’information en continu, à savoir les interruptions de parole hargneuses et l’exigence d’une « réponse » (entendez par là, dire ce que nous, chien(ne)s de garde, voulons entendre) en répétant 20 fois la même question sous une forme différente[3]. Ce n’est, bien entendu, pas la première fois qu’un tel procédé est utilisé, en particulier lorsque les travailleurs se révoltent contre les véritables terroristes et preneurs d’otage, à savoir le grand capital qui, par l’entremise des « directeurs des ressources humaines » (sic) ou des « présidents-directeurs généraux » d’une manière médiatique, de ses « actionnaires » de manière insidieuse et invisible, exploite et licencie les travailleurs tout en faisant pression sur ces derniers en brandissant le menace bien identifiée par Marx, à savoir l’armée de réserve des travailleurs. Ainsi en octobre 2015, Jean-Luc Mélenchon avait subi un traitement similaire quand les salariés d’Air France avaient appris leur licenciement de la bouche du « DRH » Xavier Broseta avant de finir la chemise à moitié arrachée[4] – que ce dernier soit déjà heureux de ne pas avoir perdu la tête comme lors de la Révolution française !
La véritable violence de classe, c’est celle du Capital !
A cette occasion, le leader de la France insoumise fait référence aux justes et combatives paroles de Jean Jaurès qui, en 1906, à la suite de l’assassinat – il n’y a pas d’autre mot possible – de près de 1400 ouvriers à Courrières lorsque la direction de la mine décida de boucher une partie de cette dernière (prenant au piège des flammes les travailleurs), condamna la violence de classe du patronat dans un discours resté célèbre :
« Nous ne pouvons pas être les dupes de l’hypocrisie sociale des classes dirigeantes. […] Ce qu’elles entendent par le maintien de l’ordre…, ce qu’elles entendent par la répression de la violence, c’est la répression de tous les écarts, de tous les excès de la force ouvrière ; c’est aussi, sous prétexte d’en réprimer les écarts, de réprimer la force ouvrière elle-même et laisser le champ libre à la seule violence patronale.
Ah ! Messieurs, quand on fait le bilan des grèves, quand on fait le bilan des conflits sociaux on oublie étrangement l’opposition de sens qui est dans les mêmes mots pour la classe patronale et pour la classe ouvrière. Ah ! les conditions de la lutte sont terriblement difficiles pour les ouvriers ! La violence, pour eux, c’est chose visible… […]
Le patronat n’a pas besoin, lui, pour exercer une action violente, de gestes désordonnés et de paroles tumultueuses ! Quelques hommes se rassemblent, à huis clos, dans la sécurité, dans l’intimité d’un conseil d’administration, et à quelques-uns, sans violence, sans gestes désordonnés, sans éclat de voix, comme des diplomates causant autour du tapis vert, ils décident que le salaire raisonnable sera refusé aux ouvriers ; ils décident que les ouvriers qui continueront la lutte seront exclus, seront chassés, seront désignés par des marques imperceptibles, mais connues des autres patrons, à l’universelle vindicte patronale. Cela ne fait pas de bruit ; c’est le travail meurtrier de la machine qui, dans son engrenage, dans ses laminoirs, dans ses courroies, a pris l’homme palpitant et criant ; la machine ne grince même pas et c’est en silence qu’elle le broie. […]
La même opposition, elle éclate dans la recherche des responsabilités. De même que l’acte de la violence ouvrière est brutal, il est facile au juge, avec quelques témoins, de le constater, de le frapper, de le punir ; et voilà pourquoi toute la période des grèves s’accompagne automatiquement de condamnations multipliées.
Quand il s’agit de la responsabilité patronale – ah ! laissez-moi dire toute ma pensée, je n’accuse pas les juges, je n’accuse pas les enquêteurs, je n’accuse pas, parce que je n’ai pas pu pénétrer jusqu’au fond du problème, je n’accuse pas ceux qui ont été chargés d’enquêter sur les responsabilités de Courrières (2), et je veux même dire ceci, c’est que quel que soit leur esprit d’équité, même s’ils avaient le courage de convenir que de grands patrons, que les ingénieurs des grands patrons peuvent être exactement comme des délinquants comme les ouvriers traînés par charrettes devant les tribunaux correctionnels, même s’ils avaient ce courage, ils se trouveraient encore devant une difficulté plus grande, parce que les responsabilités du capital anonyme qui dirige, si elles sont évidentes dans l’ensemble, elles s’enveloppent dans le détail de complications, de subtilités d’évasion qui peuvent dérouter la justice. […]
Ainsi, tandis que l’acte de violence de l’ouvrier apparaît toujours, est toujours défini, toujours aisément frappé, la responsabilité profonde et meurtrière des grands patrons, des grands capitalistes, elle se dérobe, elle s’évanouit dans une sorte d’obscurité.Vous me disiez, monsieur le ministre, que nous vous accusions d’avoir caché un cadavre ; non, nous ne vous avons pas accusé d’avoir caché un cadavre, mais il y a 1 400 cadavres que la société capitaliste est en train de cacher ! »[5]
S’ensuivit alors un puissant mouvement contestataire forçant le gouvernement à accepter que le dimanche devienne un jour de repos, ouvrant la voie à l’établissement progressif du code de travail approuvé en 1910… et détruit depuis par la macronie, le MEDEF et l’UE[6].
Combattre la haine de classe…
Seulement voilà : les gilets jaunes sont passés par là et ont remis au goût du jour de l’analyse ce que le Pôle de Renaissance communiste en France (PRCF) et les Jeunes pour la Renaissance communiste en France (JRCF) ne cessent d’affirmer, à savoir l’existence de la lutte des classes, qui n’a jamais cessé et ne cessera jamais tant qu’existera le capitalisme exterministe, principalement porté par un bloc euro-atlantique multipliant aussi bien les attaques et agressions envers les gouvernements souverains et anti-impérialistes du Moyen-Orient ou d’Amérique latine par exemple[7] qu’à l’encontre des conquêtes démocratiques et sociales arrachées de haute lutte par les travailleurs organisés, à l’époque, au sein d’une puissante CGT et d’un PCF qui ne reniait pas les principes du marxisme-léninisme (dictature du prolétariat, centralisme démocratique, discipline et organisation, faucille et marteau…) pour au contraire promouvoir un vaste combat de classe et de masse. Une lutte des classes qui existe bel et bien dans l’esprit du grand capital, comme le rappela fort justement Warren Buffet en affirmant : « C’est ma classe, la classe des riches, qui mène cette guerre et qui est en train de la gagner »[8]. Un grand capital toujours effrayé par des soulèvements populaires massifs qui entraîneraient la perte de leur moindre parcelle de pouvoir et déboucheraient sur des conquêtes sociales et démocratiques pour les travailleurs que le patronat s’emploie toujours à détruire même 100 ans après ; c’est ainsi qu’il faut relire les propos de Denis Kessler, alors numéro 2 du MEDEF, qui condamna en 2007 les mesures obtenues à la Libération :
« Le modèle social français est le pur produit du Conseil national de la Résistance. Un compromis entre gaullistes et communistes. Il est grand temps de le réformer, et le gouvernement s’y emploie.
Les annonces successives des différentes réformes par le gouvernement peuvent donner une impression de patchwork, tant elles paraissent variées, d’importance inégale, et de portées diverses : statut de la fonction publique, régimes spéciaux de retraite, refonte de la Sécurité sociale, paritarisme…
A y regarder de plus près, on constate qu’il y a une profonde unité à ce programme ambitieux. La liste des réformes ? C’est simple, prenez tout ce qui a été mis en place entre 1944 et 1952, sans exception. Elle est là. Il s’agit aujourd’hui de sortir de 1945, et de défaire méthodiquement le programme du Conseil national de la Résistance ! »
Car l’analyse concrète des situations concrètes met en lumière cette loi d’airain de la lutte politique et sociale : tout droit social et/ou démocratique n’est obtenu que par la lutte et le rapport de force, de l’abolition des privilèges le 4 août 1789 – privilèges qui n’ont jamais vraiment disparu du fait de l’inachèvement de la Révolution française[9] – et de l’adoption de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen (DDHC) – un texte au demeurant imparfait et incomplet, essentiellement du fait de la quasi-absence des droits sociaux et du principe d’égalité – le 26 août 1789 à l’échec de la (contre-)réforme Juppé à la suite d’une puissante mobilisation qui paralysa le pays à la fin de l’année 1995, en passant bien entendu par les conquêtes de 1936 (5 millions de grévistes et occupation des usines pendant plus d’un mois), de 1945 (un PCF authentiquement marxiste-léniniste résistant devenu le premier parti de France et une puissante CGT de combat) et 1968 (10 millions de grévistes et un pays paralysé pendant plus d’un mois).
.. et la fascisation galopante !
Aux abois, la macronie, le MEDEF et les médias dominants, qui ne parviennent plus à contenir une colère sociale immense et prête à en découdre avec l’ordre capitaliste néolibéral euro-atlantique, tentent le tout, à l’image du sinistre de l’Inéducation antinationale et dénationalisée, Jean-Michel Blanquer, le chantre de l’homme nouveau européiste falsifiant l’histoire pour servir le capitalisme euro-atlantique[10]. C’est ainsi que les professeurs ont eu la surprise de découvrir, dans leur boîte académique, un courriel au contenu s’apparentant à de la propagande pure et simple, en violation flagrante avec le prétendu « devoir de réserve » des fonctionnaires, les enseignants en tête – ou comment menacer et mettre les récalcitrants au pas. Nous reproduisons ici le contenu du courriel adressé par Blanquer à l’ensemble des enseignants le 3 décembre 2019 à 15h10 :
« Mesdames et messieurs les Professeurs,
Le Gouvernement a pour objectif de créer un système universel de retraite qui couvrira tous les Français selon une règle simple et juste : un euro cotisé dans le système apportera les mêmes droits.
Alors que nous arrivons à la fin d’une période de concertation engagée début 2018, le Premier ministre a précisé il y a quelques jours certains aspects importants de la réforme :
– le nouveau système de retraite sera un système de répartition, comme aujourd’hui, basé sur la solidarité entre les générations ;
– ce sera un système par points, et nous inscrirons dans la loi la garantie que la valeur du point ne pourra pas baisser ; ainsi nous garantirons le niveau des pensions et le pouvoir d’achat des retraités ;
– nous mettrons en place un minimum de pension à 1000 euros par mois pour ceux qui ont une carrière complète.
S’agissant des fonctionnaires, il a confirmé que ce nouveau système de retraite représenterait un progrès dans deux directions :
– ils cotiseront dorénavant sur toute leur rémunération, y compris sur leurs primes ; cela veut dire plus de droits qu’aujourd’hui ; cela veut dire aussi qu’à carrière et rémunération identique, les droits à la retraite seront identiques, ce qui n’était pas le cas aujourd’hui ;
– nous étendrons à la fonction publique la reconnaissance de métiers pénibles, qui n’existait jusque-là que pour le secteur privé.
Pour les enseignants
Du fait du montant plus limité des primes versées aux enseignants par rapport à d’autres fonctionnaires comparables, le Gouvernement s’est engagé à ce que la mise en place du système universel s’accompagne d’une revalorisation salariale permettant de garantir un même niveau de retraite pour les enseignants que pour des corps équivalents de la fonction publique.
Cet engagement a été formulé par le Président de la République et le Premier ministre. Il sera formalisé dans le projet de loi créant le système universel.
Je vous tiendrai régulièrement informés de l’avancement des discussions entre le Gouvernement et les organisations syndicales.
Je vous prie de croire, mesdames et messieurs les Professeurs, en l’assurance de ma considération distinguée.
Jean-Michel BLANQUER
Ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse
La propagande macroniste s’étale et se déchaîne dans des proportions totalitaires, ce que résume parfaitement un joli montage proposé par Le Média pour analyser une propagande digne de Radio Paris pendant la Deuxième Guerre mondiale (quand Philippe Henriot crachait son venin anticommuniste, antinational et antisémite sur les résistants et les Juifs)[11]. Un pouvoir prêt lui aussi à en découdre et qui, sans le dire, décrète l’état d’exception et la loi martiale[12] à travers la mise en place d’un « plan de sécurité » qui vise à briser par la force le vaste mouvement de grève qui s’apprête à déferler sur Paris et dans toute la France[13]. Un pouvoir en place qui affiche clairement sa haine et son mépris de classe à l’encontre des travailleurs et citoyens en colère, tout en assumant son choix de camp à l’instar du préfet de police Didier Lallement, le nouveau Maurice Papon[14] qui déclara sans aucun remord ne « pas être dans le même camp » que les Gilets jaunes[15]. Un pouvoir jusqu’au-boutiste, au point que Luc Ferry se prend pour le nouvel Adolphe Thiers – rappelons que ce dernier massacra 30.000 communards socialistes, républicains et patriotes en une « Semaine sanglante » en mai 1871 : c’est cela, la vraie Terreur ! –, déclarant ainsi en janvier 2019 au sujet des manifestations des Gilets jaunes :
« Franchement, quand on voit des types qui tabassent à coups de pied un malheureux policier qui est à terre, mais enfin… Qu’ils se servent de leur arme une bonne fois » ; et d’ajouter : « Je crois qu’on a la quatrième armée du monde, elle est capable de mettre fin à ces salop****, il faut dire les choses comme elles sont [16]».
N’en déplaise à Jean-Paul Delevoye, « ouvert à la controverse », le pseudo « dialogue social » : seul le combat des travailleurs et des citoyens disciplinés, organisés et solidaires, TOUS ENSEMBLE EN MÊME TEMPS ET DANS LE MÊME SENS, permet de vaincre ; car comme le disait Henri Krasucki :
« La régression sociale ne se négocie pas, elle se combat ! ».
REJOIGNEZ LE PRCF ET LES JRCF ET LEUR COMBAT !
Voilà pourquoi le PRCF et les JRCF soutiennent totalement et inconditionnellement le puissant mouvement de grève du 5 décembre, tout en appelant à la convergence de toutes les luttes sociales portées par les cheminot(e)s, les personnels hospitaliers et pénitentiaires, les enseignants, les lycéen(ne)s et étudiant(e)s, les travailleurs français, immigré(e)s et sans-papiers, les chômeurs et précaires, etc., pour combattre et vaincre le projet de contre-réforme réactionnaire de Macron-Philippe-MEDEF-UE[17].
Voilà pourquoi le PRCF et les JRCF appellent également à combattre la fascisation et le néo-maccarthysme anticommuniste qui sévissent partout dans le monde, et notamment en Europe où le Parlement européen a ignoblement assimilé nazisme et communisme dans sa résolution du 19 septembre 2019, ouvrant la voie plus que jamais aux nostalgiques du IIIe Reich, de Mussolini et du franquisme[18]. Autant d’évolutions favorisant la destruction des conquêtes sociales et démocratiques et déballant un « tapis brun » au mensonger « Rassemblement national » qui condamne les grèves et exprime sa haine de classe envers les travailleurs tout en les divisant avec son infecte xénophobie. Un rassemblement est prévu à ce sujet le 14 décembre 2019 place de Stalingrad[19].
Voilà pourquoi le PRCF et les JRCF appellent à un vaste rassemblement tous ensemble, en même temps et dans le même sens, pour combattre Macron, le MEDEF et le capitalisme euro-atlantique promu par Merkel, Lagarde (désormais à la tête de la Banque centrale européenne) et von der Leyen (la toute nouvelle présidente de la Commission européenne) Merkel, mais aussi le prétendu « Rassemblement national » euro-compatible, anticommuniste et antinational, les faux « Républicains » et « Patriotes », la « mondialisation heureuse » (OMC, FMI et ALE) chantée par le MEDEF, et bien entendu la mortifère UE appuyée par une fausse gauche eurobéate et en réalité social-libérale.
Voilà pourquoi le PRCF et les JRCF luttent pour reconstruire un grand parti communiste authentiquement marxiste-léniniste, un puissant parti de classe et de masse associant les drapeaux rouge ET tricolore de la Révolution, l’Internationale ET la Marseillaise, un Parti à même d’être un acteur majeur de la lutte des classes et, en même temps, d’être au cœur d’un Front populaire antifasciste, patriotique, populaire et écologiste, un F.R.A.P.P.E. visant à en finir avec l’euro, l’UE, l’OTAN et le capitalisme, c’est-à-dire à mettre en œuvre le Frexit progressiste.
Un Frexit progressiste plus que jamais indispensable afin de conduire la République sociale, démocratique, laïque, souveraine, une et indivisible, la France et tous les travailleurs vers de nouveaux « Jours heureux ».
« Liberté, égalité, fraternité… ou la mort ! » comme l’affirmait la devise de la République jacobine de 1793.
« Patria o muerte », « socialismo o morir » comme le proclamaient Castro et Guevara.
TOUS ENSEMBLE, EN MÊME TEMPS ET DANS LE MÊME SENS, NOUS VAINCRONS !
[1] Voir le lien suivant : https://www.initiative-communiste.fr/articles/luttes/jean-paul-delevoye-chahute-par-le-prcf-video-reformedesretraites-greve5decembre/
[2] Voir notamment les liens suivants : https://www.nouvelobs.com/societe/20190912.OBS18369/avec-balancetafichedepaiedeprof-des-enseignants-en-colere-repondent-a-lci.html ; https://www.francetvinfo.fr/societe/education/non-les-profs-de-lycee-ne-gagnent-pas-3850-euros-par-mois_3613747.html
[3] Voir le lien suivant : https://www.facebook.com/EricCoquerelPG/videos/1009591116054061/?v=1009591116054061
[4] Voir le lien suivant : https://www.bfmtv.com/mediaplayer/video/l-interview-de-jean-luc-melenchon-le-6-octobre-2015-integrale-654283.html
[5] Le discours est notamment disponible au lien suivant : http://www.jaures.eu/ressources/de_jaures/violence-patronale-violence-ouvriere-jaures-et-clemenceau-1906/
[6] Pour rappel à ce sujet : https://www.lefigaro.fr/vox/politique/2016/05/26/31001-20160526ARTFIG00104-l-union-europeenne-assume-la-loi-el-khomri-c-est-elle.php
[7] Ainsi en Bolivie comme le rappelle le lien suivant : https://www.initiative-communiste.fr/articles/international/bolivie-le-coup-detat-a-ete-prepare-a-lambassade-americaine/
[8] Voir le lien suivant : https://www.humanite.fr/politique/c-est-ma-classe-la-classe-des-riches-qui-mene-cette-guerre-et-qui-est-en-train-de-la-gagne
[9] Pour rappel, voir le lien suivant : https://www.initiative-communiste.fr/articles/prcf/1789-1989-2019-pour-sauver-la-revolution-combattons-la-reaction/
[10] Voir le lien suivant : https://www.marianne.net/politique/video-jean-michel-blanquer-juge-prioritaire-d-ancrer-l-idee-europeenne-chez-les-jeunes
[11] Voir le lien suivant : https://www.youtube.com/watch?v=AuToLJMrDhY&feature=share&fbclid=IwAR3LpGIM_rqmL6go52DvcDcI6HQGb_24jdzsxa-nt8Hp_71OTdJeXlxKZ4I
[12] Voir le lien suivant : https://www.marianne.net/societe/cameras-tactiques-paris-le-plan-secret-de-la-prefecture-de-police-pour-le-5-decembre
[13] Voir le lien suivant : https://www.initiative-communiste.fr/articles/luttes/greve5decembre-avec-la-carte-des-manifestations-trouvez-la-manif-pres-de-chez-vous/
[14] Rappelons que Papon s’illustra sinistrement à la fois sous le régime de Vichy puis en tant que préfet de police de Paris en faisant assassiner des manifestants du Front de libération national algérien (FLNA) le 17 octobre 1961 ainsi que des communistes au métro Charonne le 8 février 1962.
[15] Voir le lien suivant : https://www.bfmtv.com/mediaplayer/video/pas-dans-le-meme-camp-l-echange-entre-le-prefet-de-police-de-paris-didier-lallement-et-une-gilet-jaune-1202424.html
[16] Voir le lien suivant : https://www.lepoint.fr/societe/gilets-jaunes-luc-ferry-appelle-les-policiers-a-utiliser-leurs-armes-08-01-2019-2284169_23.php
[17] Voir notamment les liens suivants : https://www.initiative-communiste.fr/articles/luttes/retrait-de-la-contre-reforme-des-retraites-macron-demission-tract-5dec-greve5decembre/ ; https://www.initiative-communiste.fr/articles/prcf/pourquoi-faut-il-tous-faire-greve-a-partir-du-5-decembre-video-reformedesretraites-greve5decembre/
[18] Signez l’appel-pétition à ce sujet au lien suivant : https://www.initiative-communiste.fr/articles/europe-capital/appel-petition-combattre-les-chasseurs-de-sorcieres-du-parlement-europeen-et-des-fascisants-regimes-de-lest-cest-defendre-les-libertes-de-tous-en-europe/
[19] Voir le lien suivant : https://www.initiative-communiste.fr/articles/prcf/contre-la-fascisation-et-la-destruction-des-conquetes-sociales-et-democratiques-tous-ensemble-en-meme-temps-a-stalingrad-le-14-decembre-2019/