Macron, son gouvernement et ses députés ont, depuis leur prise de pouvoir, mis tout en œuvre pour finir de démanteler nos conquis sociaux issus, en grande partie, du CNR et de la lutte des travailleurs. Aujourd’hui, face à une juste colère des Gilets jaunes et des travailleurs dans les entreprises, ce pouvoir totalitaire demande la dissolution d’une organisation de la CGT. On se croirait revenus au temps du pétainisme. Face à ce pouvoir fascisant, il y a nécessité urgente pour des organisations révolutionnaires comme le PRCF de serrer les rangs, de garder une ligne politique marxiste/léniniste d’avant-garde, unissant, dans la pratique, le drapeau rouge avec marteau et faucille de tous les vrais communistes au drapeau tricolore de tous les vrais progressistes, patriotes et antifascistes, pour reconstruire ensemble la nation chaque jour un peu plus dévastée par les Sarkozy, Hollande, Macron et toutes leurs cliques de droite et d’une soi-disant gauche qui à force de semer illusions et déceptions dévoient la notion même de gauche, sans oublier les chapelles gauchisantes. Jo Hernandez – responsable de la commission Luttes du PRCF
Les grèves et manifestations :
1 – GERS : grève à l’hôpital d’Auch
Le personnel à l’appel de la CGT est en grève à l’hôpital d’Auch pour protester contre le manque d’effectif ( notamment cardio et Orthopédie) ,mauvaise conditions de travail locaux obsolètes (demande d’une reconstruction de l’hôpital)
2 – Manifestations nationale des retraités : jeudi 11 avril 2019
Les retraités sont toujours mobilisés contre ce gouvernement qui les appauvrit au profit des plus fortunés.
3- Manifestation nationale pour les libertés publiques et le droit de manifester : samedi 13 avril 2019
Source : CGT – 04/04/2019
Plus de 40 organisations appellent à manifester pour les libertés publiques et le droit de manifester le samedi 13 avril.
L’adoption du projet de loi « anti manifestant.e.s » accroît les mesures liberticides vis-à-vis des manifestants. Cette loi fait suite à l’inscription de l’état d’urgence dans le droit commun qui confirme la dérive autoritaire du gouvernement.
Ces 40 organisations appellent toutes les forces vives progressistes du pays, attachées aux libertés publiques à faire cause commune pour que le gouvernement change de ton, pour le respect de la démocratie, pour le retrait de la loi « anti-manifestant.e.s », pour l’annulation des mesures liberticides.
4 – Grève nationale des fonctionnaires le 9 mai 2019
Source : Cgt – 02/04/2019
Sept syndicats appellent les agents de la Fonction Publique (fonctionnaires) à se mettre en grève au niveau national le jeudi 9 mai 2019. Ils dénoncent le projet de réforme de la fonction publique et ses conséquences sur les conditions de travail.
5- Mobilisation de la CGT devant l’Ehpad des Lilas
Source : Nord Littoral – 05/04/2019
Ce jeudi midi, une cinquantaine de membres de la CGT (Cheminots, Hospitalier Boulogne et Calais, Port de Calais) se sont rassemblés devant l’Ephad des Lilas à Marck en soutien à une auxiliaire de vie sous la menace d’une sanction disciplinaire.
Elle était convoquée ce jeudi à un entretien préalable pour ne pas s’être rendue à une formation, à effectuer sur son temps de repos selon le syndicat. Toujours selon ce dernier, 6 dossiers du même type sont en cours à cet Ehpad, et ont entraîné des avertissements et une mise à pied.
6 – Marseille : face à la répression, la CGT redescend dans la rue !
Source : La La Marseillaise
Face à la répression « gouvernementale et patronale », les militants de l’Union départementale CGT des Bouches-du-Rhône ont de nouveau défilé mardi à Marseille. Ils dénoncent un recours à la violence systématique.
« Non à la répression »… Comme tous les mardis depuis plusieurs semaines, les militants de la CGT se mobilisaient face à l’urgence sociale. La manifestation de mardi avait un thème bien particulier. Il y a 10 jours, des militants de l’UD-CGT 13 étaient molestés lors de la manifestation antifasciste à Marseille, dont Lucas, placé en garde à vue par la suite. Au même moment, Geneviève Legay, militante d’Attac et de la CGT 06, était blessée par un policier à Nice. L’urgence sociale est bien là.
« Cette mobilisation est nécessaire. On entend qu’on est revenu au rythme de 1 000 suppressions d’emplois par jour comme sous François Hollande. Dans le même temps, ils interdisent de manifester », s’insurge Gilbert Benhamou, secrétaire général CGT Énergie Marseille.
Comme lui, les militants étaient venus rappeler leur droit d’exercer un syndicalisme d’opposition. Car la répression ne se limite plus aux manifestations. Le député Mohamed Laqhila, a récemment réclamé la dissolution de l’UD CGT 13 (lire également La Marseillaise du mardi 2 avril).
Une demande incroyable qui fait suite à une initiative des salariés de la centrale à charbon de Gardanne, qui sont intervenus dans une réunion publique organisée par LREM, la semaine dernière. Si cette volonté de faire taire le syndicat n’est pas comparable à la répression policière, cela reste « un signal fort qui décrit le climat global de tension », selon Frédéric Béringuier, secrétaire de la CGT activités postales 13. « On parle d’une fermeture d’usine et de centaines de personnes sur le carreau. La réponse du député met de l’huile sur le feu. Notre opposition au gouvernement, elle se fait sur le terrain. Mais le rêve des libéraux, c’est que nous soyons seulement des exécutants », développe-t-il.
Les militants n’ont d’ailleurs pas pu manifester devant la préfecture de police des Bouches-du-Rhône hier. Le bâtiment étant cerné par des brigades plus nombreuses les unes que les autres. « Quand quelque chose les gêne, ils veulent la dissoudre. Mais personne n’est dupe. Comme eux, nous sommes conscients de ce qu’il se passe », prévient alors Olivier Mateu, secrétaire général de l’UD, devant les cordons de CRS.
Les soutiens à l’UD CGT 13 affluent depuis l’arrestation de Lucas. Ils se multiplient depuis la prise de position de Mohamed Laqhila. Dans toute la France, de nombreuses UD et fédérations se disent solidaires des militants des Bouches-du-Rhône. Tous ont prévu de participer à une manifestation nationale organisée le 27 avril à Paris. Les fédérations du commerce et des industries chimiques ont déjà confirmé leur présence. Tout comme l’UD 13, 94, 04, 59, 41, 66, 95 et du 18, signataires d’un appel à mener un front populaire. Front amené à s’élargir d’ici là.
L’ensemble des organisations, politiques, associatives, syndicales et gilets jaunes « qui refusent la dictature du capital » y sont conviées également. Un appel qui va dans le bon sens pour Gilbert Benhamou : « On a encore du mal à agglomérer les luttes. Il faut lier les salariés qui subissent aussi la violence dans les entreprises. Nous sommes tous logés à la même enseigne ». Des gilets jaunes étaient d’ailleurs présents, mardi.
Pour ces élections Européennes, la liste Brossat après avoir finalement été invitée au débat de France 2, est totalement censurée comme jamais. Ainsi Inter, France Cul, TF1, France 2 France 3, occulte totalement la liste du PCF et quand Brossat est cité c’est uniquement en indiquant qu’il s’agit de l’adjoint au logement de Paris.
Cela veut dire que la lutte des classes, la vraie, est exacerbée comme jamais et demanderait un PCF, une CGT, une Humanité communiste, marxiste, avec drapeau rouge et faucille et marteau en mettant en avant le passé glorieux du PCF et du communisme en France comme en 1936, pendant la Résistance, en 1945, etc….contrairement au Ps et à ses héritiers, Macron, LFI, EELV, Hamon, liste Glucksmann, etc…..