« Les États-Unis fuient le bourbier que leurs troupes ont contribué à créer pendant 20 ans en Afghanistan, et Biden tente de faire oublier la défaite en menaçant Cuba et le Venezuela dans une rhétorique cynique. Au nom de quelle morale ? »
À la suite des déclarations du président des États-Unis lors de la 76e Période de sessions de l’Assemblée générale des Nations unies, le Premier secrétaire du Parti communiste et président de la République de Cuba, Miguel Diaz-Canel Bermudez, les a jugées inacceptables et dévalorisantes, et il a salué sur Twitter la réponse du ministre des Relations extérieures Bruno Rodriguez Parrilla sur ce même réseau social, qui a déclaré que le gouvernement de Joe Biden ne jouit d’aucune autorité morale pour promouvoir des initiatives qui mobilisent un véritable effort de la communauté internationale en faveur de la paix, de la dignité humaine et du développement.
« Les États-Unis fuient le bourbier que leurs troupes ont contribué à créer pendant 20 ans en Afghanistan, et Biden tente de faire oublier la défaite en menaçant Cuba et le Venezuela dans une rhétorique cynique. Au nom de quelle morale ? », a posté le président cubain.
Dans un autre tweet, le chef d’État a mis en doute les allégations de Biden, qui a déclaré ne pas vouloir d’une nouvelle guerre froide, mais qui a insulté Cuba et le Venezuela parce qu’il en veut à leurs gouvernements. « Comment appelle-t-on sa tentative d’établir un modèle politique universel unique ? Et le blocus renforcé en pleine pandémie ? », s’est interrogé le président.
Le ministre des affaires étrangères cubain souligne que les États-Unis manquent d’autorité morale pour promouvoir la paix
Sur son compte Twitter, le ministre des Affaires étrangères a évoqué la stratégie de division de Washington en critiquant le discours du président américain Joe Biden lors de la 76e session de l’Assemblée générale des Nations Unies, au cours de laquelle il a salué ses engagements envers les organisations multilatérales.
L’administration du président Biden commet une grave erreur, avec des conséquences pour tous, dans ses efforts pour diviser le monde entre ceux qui s’y soumettent et ceux qui défendent leur droit souverain à l’autodétermination avec dignité », a souligné le FM.
Le ministre cubain a également noté que la mise en œuvre déguisée de la politique étrangère erronée et dangereuse du président Donald Trump (2017-2021) rend le gouvernement américain actuel responsable des dommages causés à la paix et à la stabilité internationales, et de ses graves conséquences.
Sur son compte Twitter, le ministre des Affaires étrangères a évoqué la stratégie de division de Washington en critiquant le discours du président américain Joe Biden lors de la 76e session de l’Assemblée générale des Nations Unies, au cours de laquelle il a salué ses engagements envers les organisations multilatérales.
« L’administration du président Biden commet une grave erreur, avec des conséquences pour tous, dans ses efforts pour diviser le monde entre ceux qui s’y soumettent et ceux qui défendent leur droit souverain à l’autodétermination avec dignité », a souligné le FM.
Le FM cubain a également noté que la mise en œuvre déguisée de la politique étrangère erronée et dangereuse du président Donald Trump (2017-2021) rend le gouvernement américain actuel responsable des dommages causés à la paix et à la stabilité internationales, et de ses graves conséquences.
Le chef de la diplomatie cubaine a déclaré que « la plus grande menace pour les États-Unis est la polarisation politique croissante et l’extrémisme sur son propre territoire, et pour l’Amérique latine, l’imposition de la doctrine impérialiste Monroe ».
Dans son discours à l’ONU mardi, le président Biden a cherché à se dissocier de son prédécesseur, Donald Trump. Il a déclaré que les États-Unis sont « de retour à la table des forums internationaux, en particulier aux Nations Unies, pour attirer l’attention et stimuler les actions mondiales sur des défis communs ».