Viktor Dedaj se présente comme un journaliste-citoyen, spécialisé dans la géopolitique, et particulièrement sur l’Amérique latine. Il est aussi un spécialiste de l’affaire Julian Assange / Wikileaks qu’il suit de près depuis 10 ans et multiplie les interventions et conférences publiques pour alerter les consciences sur « la plus importante affaire de presse de notre vivant » (John Pilger). »
Son dernier ouvrage s’intitule Cuba sous embargo – Paroles cubaines sur le blocus (éditions Delga, 2020). C’est un recueil de témoignages sur la réalité des sanctions économiques imposées par les Etats-Unis à Cuba. Il est aussi le co-auteur avec Danielle Bleitrach de Cuba est une île (éditions Temps des Cerises, 2004) et le producteur exécutif du documentaire « Revolucionarios » (distribué par Les Mutins de Pangée).
Instauré depuis 1962 par les États-Unis après un échec de l’invasion de l’île, le blocus mené par les Etats-Unis, non seulement pourrit la vie des Cubains, mais constitue également une véritable insulte à la communauté internationale, laquelle, dans sa quasi-totalité, le condamne chaque année à l’ONU depuis près de trente ans. Cette négation de la souveraineté des États et cette sanctification du droit d’ingérence par l’asphyxie constitue l’un des plus grands scandales de tous les temps. Cette île, qui n’est ni un paradis ni un enfer, respirerait tellement mieux sans les pressions de son puissant voisin et lui résiste, tout en donnant au monde entier l’exemple de la dignité et du courage
Café Le Sputnik, 14-16 rue de la Butte aux Cailles, 75013 Paris
Durée : 2 h
Initialement programmée le 11 février, cette conférence débat est déplacée le 18 février compte tenu de l’appel à rejoindre les manifestations pour la retraite à 60 ans et le retrait du plan MACRON UE MEDEF
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