Sous la pression, Israel a fini par libérer une de ses prisonnières politique, parmi les milliers de prisonniers politiques enfermés dans les geoles israeliennes, la députée palestienne Khalida Jarrar.
Si la parlementaire, membre du Front populaire de libération de la Palestine (FPLP) était emprisonnée par Israël c’est en raison de l’appartenance à ce parti, considéré comme une organisation terroriste par Israël. Un emprisonnement inique qui avait mobilisé l’opinion publique palestinienne.
Des dizaines de palestiniens, de rouge vêtus étaient venus le 3 juin pour l’accueillir à sa libération, au check point de Jubara en Cisjordanie, menés par le député arabe israélien communiste Ayman Odeh, l’un des leaders de la campagne pour obtenir sa libération.
Plusieurs organisations de défense des droits de l’homme ainsi que des partis politiques européens avaient réclamé sa sortie de prison.
Sous la pression, l’état d’Israel a du céder et libérer Khalida Jarrar. Plus de 7 000 prisoniers politiques palestiniens restent cependant enfermés dans les geoles d’Israël et comme l’ensemble du peuple palestinien ont besoin de la solidarité internationale.