En toute illégalité un préfet a lâché ses gendarmes contre des travailleurs de Grandpuits qui se battent pour briser la violence dont ils sont victimes de la part des fondés de pouvoir de Madame Bettencourt et sa classe, le très grand capital.
La violence, les matraques, les gaz lacrymogènes contre des ouvriers qui se battent pour nos acquis c’est-à-dire pour nous tous, le peuple. Au petit matin, sournoisement, comme les bourreaux d’hier, ils frappent lâchement des travailleurs qui n’ont que leur droit et leurs mains nues à opposer aux robots cops harnachés pour mener la guerre de classe.
Et le pouvoir réquisitionne les travailleurs grévistes en toute ILLEGALITE (la réquisition viole le droit et attente au droit de grève, droit constitutionnel).
Résultat escompté par Sarkozy et sa clique, briser la résistance populaire.
Résultat obtenu, jamais les Français n’ont autant soutenu le mouvement : 70%. Plus qu’au début, en septembre. Malgré les pressions et les menaces, malgré la violence et l’illégalité, les travailleurs de Grandpuits et de toute la France disent non ! Non à des années de régression sociale, d’agression contre le monde du travail, contre le vol du travail, contre la casse des services publics, contre la crise du capital que le Medef, l’UE et Sarkozy veulent nous faire payer, de baisse du pouvoir d’achat populaire.
Le PRCF, ses militants,
entièrement engagés dans la lutte, saluent les travailleurs du Grand puits et leurs expriment leur fraternelle solidarité. Nous vaincrons, tous ensemble, en même temps!