Info luttes — Face à Macron et son gouvernement fantoche, il faut lutter, mais pas uniquement ! N° 23 — juin 2017
Le nouveau président de la République française qui veut mettre la France dans les pas de Merkel et livre notre pays pieds et poings liés aux technocrates de Bruxelles vient de réaliser un hold-up politique en rassemblant dans le même gouvernement des hommes et des femmes de droite, du centre et de « gauche ».
Tout cela pour tromper notre peuple et faire croire qu’en réunissant toutes les sensibilités politiques dans un gouvernement fantoche, la France pourra sortir du marasme économique qui gangrène notre pays depuis des décennies.
Bien au contraire, Macron et son gouvernement vont aggraver les politiques déjà menées par Hollande, à savoir : poursuite des remises en causes des acquis, désintégration du Code du travail, la réforme des régimes spéciaux de retraite, la diminution des cotisations employeurs sur les salaires, la libéralisation à outrance par des accords favorisant le libre-échange : ce sont les salariés qui vont payer l’addition.
Face à cette déferlante de mesures antisociales, la lutte des travailleurs est nécessaire, mais pas uniquement. Elle doit être accompagnée d’orientations politiques claires et sans ambiguïté dans la dénonciation du rôle de l’Union européenne à l’origine de ces politiques néfastes pour notre pays.
C’est pourquoi le PRCF propose à tous ceux qui veulent que ça change vraiment de s’unir pour la sortie de cette Union européenne mortifère. Pour la sortie de l’euro et de l’OTAN. En un mot, pour un Frexit progressiste qui ne peut se faire que par la gauche, à savoir : par des nationalisations démocratiques, par la démocratisation de toutes les instances nationales dans la perspective de la construction du socialisme dans notre pays.
Jo Hernandez – commission luttes du PRCF
Les grèves en cours
- des travailleurs sociaux de Charente le 30 mai 2017
- dans les écoles de Haute-Garonne le 30 mai 2017
- illimitée chez France 3 Limousin à partir du 29 mai 2017
- des bus Ouibus à Lyon depuis le 27 mai 2017
- nationale du transport de matières dangereuses dès le 26 mai 2017
- des agents territoriaux du Havre dès le 24 mai 2017
- au centre hospitalier d’Auch depuis le 23 mai 2017
- des Bus Verts dans le Calvados depuis le 22 mai 2017
- à l’hôpital de Saint-Claude depuis le 22 mai 2017
- chez Vortex à Guyancourt (Pam78) depuis le 22 mai 2017
Les prochaines grèves
- dans le secteur de la santé dans le Loir-et-Cher le 31 mai 2017
- des agents territoriaux de Châtellerault le 1er juin 2017
- des pompiers de Moselle le 1er juin 2017
- chez la compagnie aérienne Hop! du 3 au 8 juillet 2017
Revue de presse des luttes
Grève dans le transport de carburant : vers une pénurie d’essence ?
Source : Europe 1
Les conducteurs de camions citerne sont en grève depuis ce week-end et menacent d’amplifier le mouvement. Certaines stations-service commencent à être à sec.
Les automobilistes pourraient commencer à avoir du mal à faire le plein d’essence. Les conducteurs de camions citerne prévoient d’amplifier leur mouvement de grève entamé vendredi et samedi en région parisienne. La CGT-transport annonce ainsi un durcissement du mouvement et un élargissement de la grève en province.
Certaines stations déjà en pénurie. En conséquence, la menace d’une pénurie d’essence se fait sentir. Certaines stations-service sont d’ores et déjà impactées à Paris et en banlieue. A la station-service de la porte Maillot par exemple, il n’y avait déjà plus de diesel lundi matin. A la porte de Clignancourt, c’est le sans plomb 95 qui n’était plus disponible dimanche soir alors qu’une station à Argenteuil, dans le Val d’Oise, est déjà à sec car elle n’a pas été réapprovisionnée.
« Plus d’essence, pas de travail. » « J’ai fait plusieurs stations-service et je n’ai plus d’essence. Si je continue à rouler je vais tomber en panne à même pas 50 mètres. Plus d’essence, pas de travail », raconte un chauffeur de taxi sur place. Mohamed, lui, est à sec depuis dimanche. Il s’est rendu dans trois stations-service sans pouvoir faire le plein : « Je ne trouve pas ça normal. C’est grâce à ça qu’on travaille, que les gens se déplacent… Les gens ont des familles à nourrir mais eux, ils bloquent. On est en France et on n’a pas d’essence, ça devient grave. »
Que réclament les grévistes ? Par ce mouvement de grève, les conducteurs de matières dangereuses, comme le gaz et le carburant, souhaitent pousser les patrons à entamer des discussion afin d’améliorer leurs conditions de travail. Ils refusent d’être considérés comme de simples chauffeurs routiers, notamment en raison de leurs horaires décalés et du fait qu’ils transportent des matières explosives. Ils demandent une revalorisation de leur salaire horaire, ou encore un repos hebdomadaire plus important.
Ne pas faire le plein préventivement. Pour l’instant, il n’y a pas de quoi s’alarmer du côté des automobilistes. L’Union française des industries pétrolières assure que la grève a été anticipée et les cuves réapprovisionnées au plus haut dans les dépôts. Ce qui pourrait finalement provoquer une pénurie est le comportement des automobilistes, si ces derniers font le plein préventivement.
Bras de fer chez Engie
Source : Énergies syndicale CGT
Avec 600 suppressions de postes annoncées, la direction d’Engie est engagée sur le siège du groupe dans une bataille rangée avec la CGT et les quatres autres organisations syndicales du groupe. « La direction propose un plan de départs volontaires (PDV), ce qui est plutôt inhabituel » note E. Buttazzoni. « Pour mémoire, le seul PDV qui a eu lieu sur le champ de la branche IEG concernait la SNET ‘aujourd’hui Uniper France). Pour l’heure, nous sommes dans un bras de fer. Nous avons réussi à bloquer ce PDV en disant : tant que vous ne nous dites pas clairement ce que vous comptez faire avec les salariés non-volontaires, la négociation restera au point mort. « Un récent conseil de discipline a montré qu’Uniper monte des dossiers disciplinaires pour se débarrasser de certains salariés qui n’ont pas choisi le départ volontaire.
En dehors de cette option extrême (mais bien réelle), plusieurs autres sont possibles pour la direction : la première et la plus courante, celle que les 3/4 des entreprises utilisent en pareil cas, c’est le plan de licenciements ; Nous voulons avoir l’engagement qu’il n’y en aura pas. Syndicalement, nous proposons des reclassements de type réforme de structure, comme cela se fait dans les IGE ? Enfin, une autre solution consisterait à exiger qu’en fin de PDV, la direction s’engage à rouvrir une consultation. Pour l’instant, les choses sont bloquées. Fin mars, la direction s’était voulue rassurante. Mais lors du récent CCE (comité central d’entreprise) en lancement de l’info-consultation sur le dossier, elle n’avait aucune réponse à nous apporter. En outre, nous sommes inquiets du fait que le PDV devienne le mode opératoire de toutes les réorganisations à venir. D’où l’enjeu très important de celui qui concerne le siège.
Réchauffement climatique : Mix européenne
Source : Énergie syndicale CGT
De quelles énergies est composé le mix de production électrique européen ? Selon les chiffres les plus récents fournis par Eurostat, la production d’électricité européenne à partir de combustibles fossiles est de 47,6 %, celle à partir du nucléaire de 27,4 %. Viennent ensuite l’hydraulique pour 13,2 %, l ‘éolien pour 8,3 %, le solaire pour 3,2 %, le reste étant dévolu à la géothermie et aux autres sources.
Evry : les syndicats pourraient garder leur Bourse du Travail
Source : Le Parisien
Plus d’une centaine de syndicalistes CGT, FO, CFDT, CFTC, Unsa, CFE-CGC, FSU, étaient rassemblés ce lundi matin devant les grilles du conseil départemental, alors que les élus siégeaient en séance publique, pour manifester contre leur « expulsion » au 30 juin prochain de la Bourse du Travail à Evry.
Le département, propriétaire des locaux, leur avait proposé de les reloger dans les anciens locaux du service départemental d’incendie et de secours (Sdis). Mais pour les syndicats, ces locaux sont trop petits pour recevoir le public.
Une délégation de représentants syndicaux a été reçue par Alexandre Touzet (LR), vice-président du conseil départemental délégué à l’administration générale. Et il semble que cette fois un accord se profile. « Nous avons entendu leur demande d’espace supplémentaire, assure Alexandre Touzet et nous leur proposons d’étudier leur maintien dans les locaux actuels ». Une revendication qui répond à la demande des syndicats qui ne veulent pas déménager.
Des travaux à 6 millions d’eurosCe maintien va exiger d’importants travaux, jusqu’à 6 M€, raison pour laquelle le département souhaitait ce déménagement. « Nous aurons avec eux une réflexion sur le niveau de travaux à faire, entre ce qui est obligatoire et les travaux de confort. Mais du coup, nous aurons aussi une négociation sur un meilleur partage des frais de gardiennage, entretien… » prévient Alexandre Touzet. «
C’est un critère d’apaisement, reconnaît Jean-Noël Lahoz de FO. Mais nous verrons comment se passent les négociations. » Ces dernières débuteront le 9 juin prochain.
Le plan social chez Neuhauser à Folschviller réduit de 259 à 140 licenciements
Source : France Bleu
Fin des négociations chez Neuhauser à Folschviller: les syndicats ont obtenu 140 suppressions de poste au lieu de 259, ainsi que des indemnités de départ en hausse et au moins un an de congé de reclassement. Mails les plus touchés par les licenciements seront les jeunes.
Le plan social chez Neuhauser à Folschviller, près de Saint Avold (Moselle) est en passe d’être validé. Il le sera ce mercredi 31 mai à Paris en comité central d’entreprise, après l’accord signé entre la direction de la boulangerie industrielle et les syndicats (CGT, CDFT, CFTC) la semaine dernière. Les syndicats ont réussi à obtenir beaucoup moins de suppressions de postes: 140 au lieu de 259 sur 600 salariés au total, et de meilleures indemnités de départ: 13.000 euros minimum. Plus un congé de reclassement porté à un an pour les moins de 50 ans, ce qui est l’équivalent d’un an de salaire (et 15 moins pour les plus de 50 ans).
Christian Porta, délégué syndical CGT, reconnait malgré les avancées des négociations, que les jeunes seront les plus touchés par les licenciements: « ça va être les jeunes, c’est la loi qui est comme ça. Elle favorise l’ancienneté, l’âge, la situation familiale. Donc les jeunes seront effectivement les plus touchés. Moi, ce que je regrette, c’est quand il y a déjà une personne touchée. Si on doit choisir, c’est normal que les plus anciens restent, parce que ce sont ceux qui ont le plus de mal à retrouver du travail ».
« Il aurait mieux valu faire partir ceux qui sont plus proches de la retraite. Je trouve ça injuste que les jeunes partent » – un ancien intérimaire de Neuhauser
« L’ambiance n’est pas bonne en ce moment, on ne sait pas qui va partir, qui va rester », glisse cette salariée à l’entrée de l’usine. L’indemnité de départ minimum, a été revue à la hausse, avec 1860 euros supplémentaires par année d’ancienneté. Ce qui redoute Stéphane, ancien intérimaire chez Neuhauser, c’est que les jeunes soient les plus touchés par les licenciements: « Il aurait mieux valu faire partir ceux qui étaient le plus proche de la retraite. Les jeunes partent et les anciens restent parce que ça coûte trop cher de les virer. Je trouve ça injuste ». A Folschviller, tout le monde connait quelqu’un qui travaille chez Neuhauser. Environ 300 des 4.500 habitants sont salariés de la boulangerie industrielle, le plus gros employeur de la commune. Cette habitante s’inquiète pour des amis: « Ils ont peur, tous, de perdre leur emploi, de ne pas pouvoir en retrouver ».
De son côté, le maire Gabriel Müller veut surtout retenir le nombre de licenciements limités grâce aux négociations – 140 au lieu de 259 – et la préservation du site: « D’une certaine manière, je suis rassuré. J’imagine que M. Neuhauser, qui s’est retiré, n’a peut-être pas fait ce qu’il fallait à un moment donné. J’espère que les efforts qui vont être fait dans les mois à venir vont permettre de pérenniser l’emploi ». Le maire espère que le nouveau propriétaire, le groupe Soufflet, va investir dans les lignes de production, dont une partie sont vieillissantes. L’entreprise a déjà bénéficié de 4,2 millions d’euros de crédit d’impôts compétitivité emploi (CICE).
Paris : la grève des bibliothèques le dimanche continue
Source : Le Parisien
Le mouvement de grève des bibliothécaires parisiens, qui protestent notamment contre les conditions d’ouverture le dimanche, se poursuit. Le 12 février, trois des six médiathèques ouvertes le dimanche (Marguerite-Duras dans le XXe et Hélène-Berr dans le XIIe, mais aussi Marguerite-Yourcenar dans le XVe), sont restées fermées. Ce lundi, l’intersyndicale CGT-FO-SUPAP-UCP-UNSA a annoncé avoir déposé un nouveau préavis pour dimanche prochain.
« La Ville attend que le mouvement se durcisse. Elle joue le pourrissement de la situation », déplore Bertrand Pieri, délégué CGT pour la culture. L’intersyndicale – qui souhaite « rencontrer directement Bruno Julliard, premier adjoint d’Anne Hidalgo » – met en avant deux revendications. Les mille bibliothécaires travaillant dans les soixante bibliothèques parisiennes demandent d’abord la revalorisation des primes de la filière culture, « les plus basses de l’administration parisienne, de l’ordre de 150 à 200 € mensuels », selon Bertrand Pieri. D’autre part, les syndicats réclament la création d’ « au moins deux postes » à la médiathèque Hélène-Berr où travaillent 38 bibliothécaires. L’ouverture le dimanche de cet établissement depuis le 22 janvier, a nécessité le recours à sept étudiants vacataires.
Au cabinet de Bruno Julliard (PS), on souligne que « la concertation menée depuis plusieurs semaines, a abouti à une augmentation moyenne de 47 % de la prime des agents d’ici à 2020 ». Quant à l’ouverture le dimanche, « c’est un engagement de campagne d’Anne Hidalgo », rappelle-t-on à l’Hôtel de Ville où l’on assure que « la concertation permettra d’adapter de manière optimisée les effectifs à l’organisation du travail ».
Le 6 juin, privé, public, ensemble contre le programme Macron et pour le progrès social !
Source : CGT Parisien
A l’occasion du prochain conseil de Paris, la CGT Paris appelle à une journée d’actions et de revendications en direction des élu.es parisien.nes et des citoyen.nes pour les mobiliser quant aux régressions portées par le programme Macron, l’austérité budgétaire imposée aux services publics et pour conquérir de nouveaux droits.
Les cheminots du Bourget en grève illimitée par période de 59 minutes
Source : Révolution permanente
Après trois mouvements de grève carrée depuis janvier, les cheminots agents circulation au triage du Bourget sont en grève illimitée par période de 59 minutes par service, depuis le 2 mai. La direction propose un rendez-vous jeudi prochain.
Une grève qui démontre créativité et détermination sans faille
Les cheminots du triage du Bourget sont en lutte depuis janvier pour des revendications plus que légitimes. La direction avait d’abord accepté de répondre favorablement à deux revendications importantes, concernant la requalification d’un poste et la non-suppression d’un autre poste. Ces premières avancées étaient le fruit du succès des premières grèves, qui ont été massives avec un taux de plus de 90% de grévistes sur l’ensemble de l’unité opérationnelle du Bourget. Mais la direction a refusé de répondre favorablement à une revendication centrale, celle d’avoir l’équivalent d’un panier repas par mois et par agent. Tout à fait légitimement, les cheminots réunis massivement en assemblée générale ont donc décidé de continuer la lutte et de ne pas baisser les bras.
Plus de 600 heures de retard et de nombreux trains supprimés
Pour éviter que la direction ne s’organise suffisamment pour pallier les effets de la grève, les cheminots ont décidé de réinventer les modalités de la lutte, et ont commencé, depuis le 2 mai dernier, une grève illimitée par période de 59 minutes par service. Après un mois de grève, avec plus de 600 heures de retard, de nombreux trains supprimés, l’impact est bien réel. Les collègues des autres sites, d’autres agents circulation mais aussi des cheminots d’autres corps de métier, commencent à vouloir se renseigner sur la grève, sur les revendications et sur les modalités, se demandant s’ils pourraient se joindre au mouvement. En effet, la possibilité que cette grève s’étende au-delà du triage du Bourget serait un véritable cauchemar pour la direction qui, depuis des années maintenant, met en place une politique qui cherche à diviser les cheminots de différents métiers et établissements, avec un objectif clair : créer les conditions pour mettre en place les réformes prévues.
Une direction qui cherche à ignorer les revendications mais qui se retrouve en difficulté
La direction joue la politique de l’épuisement depuis la dernière grève carrée au mois d’avril. Après des négociations qui n’ont pas abouti, notamment car la direction a refusé de répondre favorablement aux revendications légitimes des cheminots, elle avait décidé de rompre le dialogue et d’arrêter toutes les négociations. Elle a ensuite cherché à pallier les conséquences de la grève, en faisant remplacer quelques grévistes par les cadres dirigeants, en jouant souvent très dangereusement avec la sécurité des circulations, des cheminots et de la population. Il n’y a pas besoin d’avoir un BAC+7 en sécurité ferroviaire pour se rendre compte qu’un accident ferroviaire dans un triage où circulent des trains avec des marchandises dangereuses serait une véritable catastrophe. La direction, au lieu de s’asseoir autour d’une table et discuter des problématiques légitimes des cheminots, préfère jouer avec la sécurité.
Les psychiatres de Rhône-Alpes en grève contre la dégradation de leurs conditions de travail
Source : Le quotidien du médecin
Psychiatres, infirmiers, aides-soignants, psychologues ou assistantes sociales… ils étaient plus d’une centaine ce matin, venus de toute la région, rassemblés devant l’agence régionale de santé (ARS) d’Auvergne Rhône-Alpes.
Reçue ce lundi à 11h30 par l’ARS, une délégation a rappelé son opposition « au démantèlement de la psychiatrie adulte et de la pédopsychiatrie de secteur, aux fermetures de lits, d’unités, de foyers, de la radio, des structures de proximité ». Elle s’oppose aux 49,5 suppressions de postes et aux économies de fonctionnement (non-remplacement de maternités, de maladies, gel de postes vacants), mais aussi à « l’abandon des populations au nom des économies ».
Les syndicats et collectifs de soignants souhaitent poursuivre le combat pour la « défense de la psychiatrie publique de secteur » et pour « l’accès de tous et toutes aux soins et à la prévention ». « Nous voulons continuer à essayer de penser le soin et à être créatifs malgré cette réalité », conclut le Dr Henriette.
Hop! Air France : risque de grève début juillet
Source : Les Echos
Les départs en vacances des clients d’Hop! Air France, début juillet, risquent d’être de nouveau perturbés par une grève. Après les hôtesses et stewards en avril , les pilotes de la filiale régionale d’Air France qui assure la grande majorité des vols intérieurs, pourraient en effet cesser le travail du 3 juillet au 8 juillet inclus, à l’appel du principal syndicat de pilotes, SNPL De quoi provoquer retards et annulations de vols dans les aéroports français.