La marche à l’euro-privatisation de la SNCF continue.
Dans cette perspective, dictée par l’UE et par ses relais sociaux-maastrichtiens au pouvoir, les réductions de personnel doivent se poursuivre, les dépenses improductives sur les infrastructures doivent diminuer à tout prix (cf la honteuse et sanglante affaire de Brétigny), et tant pis si les TER roulent sans aucun agent cheminot à bord…
C’est pourquoi le PRCF soutient sans réserve la juste lutte des contrôleurs de SUD et de la CGT.
D’autant qu’à l’heure actuelle, où les directions confédérales des syndicats n’impulsent aucune lutte nationale sérieuse, toute grève nationale de ce genre sert objectivement de porte-voix à tous les salariés qu’exaspèrent les mesures régressives de Valls-MEDEF.
Solidarité cheminots-usagers, ne nous laissons pas diviser !