Dur été pour les militants du PRCF et pour tous les amis de la Résistance patriotique et de la Renaissance communiste.
Après le décès de Bernard Parquet, fils de Résistant, ancien directeur de l’École centrale du PCF et vice-président du PRCF, puis d’Arsène Tchakarian, ancien FTP-MOI du groupe Manouchian, dont quasiment toute la presse a caché la fidélité au communisme et l’appartenance au PRCF, nous apprenons le décès de notre très chère Henriette Dubois, militante de l’Union des Jeunes Filles de France (organisation de la Jeunesse communiste) sous le Front populaire, puis agent de liaison FTPF en zone Sud, puis défenseur inlassable de la mémoire de la Résistance au sein de l’ANACR, militante jusqu’à son dernier souffle de la Renaissance communiste, de l’indépendance nationale, de l’antifascisme et de la paix.
Jamais Henriette n’avait admis les graves dérives de ceux qui ont renié Lénine et le combat anticapitaliste et anti-impérialiste.
Le PRCF national, le PRCF-06 inclinent leurs drapeaux rouges liserés de tricolore et frappés de l’emblème ouvrier et paysan devant la mémoire d’Henriette, un modèle de gentillesse et de modestie qui continue d’indiquer le chemin aux jeunes générations communistes et antifascistes.
- Pierre Pranchère, ami personnel d’Henriette et vice-président du PRCF, ancien maquisard FTPF de Corrèze, ancien député de la Nation, Combattant volontaire de la Résistance
- Léon Landini, président du PRCF, ancien officier des FTP-MOI, Grand Mutilé de Guerre, Médaille de la Résistance, Officier de la Légion d’honneur, président de l’Amicale FTP-MOI Carmagnole-Liberté
- Georges Gastaud, fils de Résistant, secrétaire national du PRCF
- Alex Falce, syndicaliste, secrétaire du PRCF-6
- Gilliatt De Staërck, animateur national des Jeunes pour la Renaissance Communiste en France (JRCF)
- Sébastien Rubinstein, petit-fils d’Henriette DUBOIS « Nelly », membre du PRCF-06
Adhérente aux Jeunesses communistes dès 1937 à l’âge de 17 ans, Henriette Dubois assure à partir de 1942 la reproduction et la distribution du journal « L’Humanité » à Nice. En 1943, elle devient agent de liaison FTP pour la zone sud (Lyon, Toulouse, Marseille).