Face à un pouvoir macronien qui ne lâche quelques miettes en trompe-l’œil que pour frapper encore plus fort le monde du travail (retraites, statuts publics, contre-réforme Blanquer de l’Education, privatisations en cascade…), il faut que convergent les luttes des syndicalistes de lutte et des Gilets jaunes pour l’emploi, l’augmentation de tous les revenus issus du travail (salaires, pensions, indemnisation du chômage, remboursements de soins…), les libertés syndicales et démocratiques et la souveraineté du peuple. Solidarité totale en particulier avec tous les camarades syndicalistes et/ou gilets jaunes réprimés.
La journée internationale de lutte des travailleurs peut montrer à tous que le mouvement populaire, non seulement ne baisse pas la garde, mais qu’au contraire, il monte en puissance.
Profitons aussi de cette journée internationaliste pour mettre en accusation, non seulement Macron et son gouvernement liberticide, mais l’UE du grand capital qui broie les peuples souverains et les conquêtes sociales. Imposons le débat sur la sortie par la gauche de l’UE qui « cadre » tous les mauvais coups (code du travail, statuts, services publics, privatisations…) à l’échelle continentale. Une UE que continuent pourtant de ménager les états-majors syndicaux euro-formatés !
Luttons aussi pour la paix, car c’est la même politique de classe qui impose l’euro-austérité et qui, sous couvert de construire une « armée européenne » arrimée à l’OTAN, se lance dans une course aux armements insensée à la demande de Trump, tout en préparant les de futures guerres impérialistes contre les peuples russe, iranien, etc.
Solidarité également avec tous les peuples opprimés de la Terre, qu’il s’agisse des peuples qu’opprime la « Françafrique » néocoloniale (Mali, Côte d’Ivoire, etc.), de Cuba socialiste et du Venezuela bolivarien littéralement assiégés par l’Oncle Sam, des peuples du Proche-Orient dévasté, du peuple palestinien martyrisé par Israël ou du peuple ukrainien qui subit depuis des années, avec le concours de l’UE/OTAN, un gouvernement truffé de néonazis.
Plus que jamais, en ce 100ème anniversaire de l’Internationale communiste, que retentisse le mot d’ordre de Marx, d’Engels et de Lénine : « prolétaires de tous les pays, peuples opprimés du monde, unissez-vous ! ».
Par Georges Gastaud, secrétaire national, Jo Hernandez, responsable national Luttes, Gilliatt de Staërck, responsable JRCF
En fait le 1er mai comme l’année dernière, Macron a commandé 500 barbouzes des BAC et de la BRI, ceux-ci tous habillés de noirs étaient tous habillés de noir et juste grâce à une cagoule se transforme en Black-Block avant de redevenir les flics nazis qu’ils sont et qui votent RN-LE Pen à 100, des flics nazis qui canardent et tabassent la CGT, la FSU et les Gilets jaunes obligés de se réfugier par fois dans un hôpital. On pense à certains films d’Yves Boisset ou de Costa Gavras : mafia d’extrême droite qui s’allie au pouvoir des milliardaires pour lutter contre le communisme et les syndicats. C’est vieux comme le monde. Le PCF et la CGT s’écrasent car ils ne sont plus communistes et ne rêvent qu’à sauver le capitalisme pour faire carrière à la CES, massivement subventionnée par la CCE ou le PGE, itou. On va vers une révolution prolétarienne, grâce à Macron.