Femme joviale et amicale, militante franchement communiste ardente et résolue, pilier de la FARC puis du PRCF depuis sa fondation, notre souriante et combative camarade Michelle Mallet vient de décéder subitement en Gironde, à l’âge de 87 ans.
Elle avait beaucoup donné au PCF, puis aux organisations de la Renaissance Communiste.
Militante CGT de la Poste, elle défendait les positions de lutte et se battait pour le service public qu’elle défendait également au sein du FSC (Front Syndical de Classe).
Avec son compagnon Bernard Guillaumin, ancien trésorier national du Pôle et actuel membre du bureau du COURRIEL, elle avait eu aussi d’importantes responsabilités à la Société des Amis de Louis Aragon et d’Elsa Triolet.
À sa famille, à Bernard, à ses camarades et amis de Gironde et des Yvelines, à tous ses anciens collègues, amis et camarades de la Poste, du PRCF, de la CGT, du FSC et de la SALAET, la direction nationale du PRCF présente ses condoléances émues.
Pour le secrétariat national du PRCF,
Georges Gastaud, secrétaire national, Fadi Kassem, secrétaire national adjoint, Annette Mateu-Casado, coordinatrice de la direction
Lettre de Léon Landini, président du Pôle de Renaissance Communiste en France, à ses amis Michelle et Bernard
Je viens d’apprendre, par le message ci-dessous, le décès de notre Michelle.
Les mots me semblent bien fades et mon verbe bien triste pour te dire l’immense peine que je ressens. Les liens d’affection qui me liaient à vous me font ressentir ce malheur comme si c’était un membre de ma proche famille qui s’en allait.
Sache, cher Bernard, qu’à 94 ans passés j’ai beaucoup de peine à marcher et de me trouver si loin de toi, dans des moments aussi douloureux, cela me rend malade.
J’ai déjà normalement beaucoup de peine à dormir, mais le souvenir de vous deux (car dans mon cœur vous ne faisiez qu’un) va pendant quelques temps hanter mes nuits.
Je t’embrasse très, très fort et te souhaite bon courage, car je sais par expérience combien il est difficile de vivre sans sa compagne.
Sois certain de toute mon affection et je t’assure (ainsi qu’à Michèle car je ne peux pas vous séparer) du profond respect que je vous ai toujours porté et de l’immense affection dans laquelle je vous ai toujours unis.
Ton vieux camarade attaché à toi.
Léon LANDINI
Bonjour
Il y a une erreur dans l’article sur le lien vers le site de l’association COURRIEL. Il y a un nouveau site dont l’adresse est https://courriel-languefrancaise.com/
Merci de rectifier.
Frat