« Pour en finir avec l’OTAN et ses zélés serviteurs et pour œuvrer à la #paix mondiale » Fadi KASSEM #Alternative #RougeTricolore #FK2022 #Présidentielles2022 

Avec FADI KASSEM et le PRCF, PORTONS L’ALTERNATIVE ROUGE ET TRICOLORE – Communiqué n°51 – 30 janvier 2022

Pour en finir avec l’OTAN et ses zélés serviteurs et pour œuvrer à la paix mondiale, avec Fadi KASSEM, portons l’Alternative Rouge et Tricolore !

Jamais la menace d’une guerre potentiellement exterminatrice du genre humain n’a été aussi proche au regard de la funeste dégradation de la situation à la frontière russo-ukrainienne. En effet, l’annonce par Joe Biden d’« envoyer des troupes américaines en Europe de l’Est et dans les pays de l’OTAN prochainement » constitue une nouvelle étape dans l’entreprise agressive et belliciste de la part des soi-disant « défenseurs du monde libre », habitués à saccager les coins du monde pour défendre les intérêts de l’impérialisme états-unien. Discréditer l’adversaire par une propagande de guerre et le menacer d’une attaque, tout en s’affirmant « défenseur du monde libre » et de « la démocratie » et en appuyant des forces ouvertement réactionnaires voire fascistes : une vieille méthode mensongère appliquée par les présidents états-uniens successifs pour détruire la Corée, le Vietnam, la Yougoslavie ou encore l’Irak.

La Fédération de Russie constitue donc la nouvelle cible à abattre, via le soutien de l’OTAN à une Ukraine dirigée par des nostalgiques du Troisième Reich hitlérien. Car les apôtres de la « révolution Maïdan » de 2013-2014 affirment sans complexe leurs sympathies néonazies et pour leur « héros » Stepan Bandera, qui collabora massivement avec Hitler dans la guerre contre l’URSS et contre les Juifs d’Europe. Il est d’autant plus cocasse de voir dans les États-Unis et l’Ukraine des forces pacifiques et démocratiques que ces deux pays ont récemment rejeté une motion de l’Assemblée générale de l’ONU (largement adoptée) intitulée « Lutte contre la glorification du nazisme, du néonazisme et d’autres pratiques qui contribuent à alimenter les formes contemporaines de racisme, de discrimination raciale, de xénophobie et de l’intolérance qui y est associée ».

L’impérialisme états-unien, qui a déjà suffisamment ravagé de nombreux pays – y compris via les dictatures militaires comme au Chili ou au Pakistan –, constitue la principale menace majeure pour la paix mondiale. Ne cessant de provoquer la Russie et la Chine populaire sur la base de désinformation et de mensonges grotesques (à l’image des accusations diffamatoires sur le prétendu « génocide » dont seraient victimes les Ouïgours en Chine), les États-Unis soutiennent en réalité toutes les forces réactionnaires voire fascisantes qui sèment le chaos dans leurs zones respectives : Arabie saoudite wahhabite qui finança les moudjahidines afghans et combattit les régimes laïcs et anti-impérialistes du Moyen-Orient (Égypte de Nasser en tête) ; Israël sioniste qui colonise la terre palestinienne en détruisant le peuple palestinien ; Afrique du Sud du temps de l’apartheid, que les États-Unis ont soutenue sans ambiguïté.

Les États-Unis peuvent compter sur l’appui de la mortifère Union européenne qui, élargie aux régimes réactionnaires va-t-en-guerre d’Europe centrale et orientale qui ont rejoint l’OTAN (pays baltes, Pologne, Hongrie, Roumanie, etc.), procède à un révisionnisme négationniste de l’histoire, assimilant le communisme au nazisme et l’URSS victorieuse à Stalingrad de l’Allemagne nazie – au prix de plus de 27 millions de morts. Un tel négationnisme factuellement et historiquement mensonger prépare les esprits à une guerre inacceptable contre la Russie, au sujet de laquelle le général de Gaulle affirmait en 1944 : « Les Français savent que la Russie soviétique a joué le rôle principal dans leur libération ». Mais tout cela est balayé par la propagande de guerre de l’UE, prétendument factrice de paix alors qu’elle ne cesse de martyriser les peuples des pays-membres – à l’image des Grecs détruits par l’euro-austérité – tout en laissant prospérer la fascisation de Riga à Paris et de Varsovie à Berlin.

Les États-Unis peuvent également compter sur leurs zélés serviteurs atlantistes en France, à commencer par Macron et ses laquais qui, non contents de menacer à demi-mots la Russie d’un « conflit de haute intensité » prôné par le chef d’état-major Thierry Burkhard, ont décidé d’envoyer des soldats en Roumanie – après avoir déjà envoyé la flotte en mer de Chine. Rien de surprenant pour de dangereux incultes qui, à l’image de l’ancien secrétaire d’État auprès de la ministre des Armées Geneviève Darrieussecq niant le rôle de l’URSS dans la victoire contre le nazisme, se transforment en porte-drapeaux de l’« Occident », ce concept dont se réclame l’extrême droite identitaire pour pousser au « choc des civilisations » contre la Chine ou les musulmans. Des forces bellicistes que l’on retrouve parmi les pseudo « socialistes » et « écologistes » – Raphaël Glucksmann en tête –, qui relaient tous les mensonges de la CIA sur la Russie ou la Chine et qui ont voté la honteuse résolution du Parlement européen du 19 septembre 2019 sur le communisme avec l’extrême droite, la Macronie et les LR.

Voilà pourquoi le Pôle de Renaissance communiste en France (PRCF), sous l’impulsion de son secrétaire national Fadi Kassem, mène campagne pour l’Alternative Rouge et Tricolore afin de sortir la France du camp atlantiste et européiste qui précipite le monde dans l’abîme de la guerre exterminatrice. Cela implique de rompre totalement et définitivement avec l’euro, l’UE, l’OTAN et le capitalisme et ses institutions mortifères (FMI, Banque mondiale, OMC… et UE). C’est la seule perspective politique susceptible d’œuvrer à une véritable paix mondiale, à travers la coopération avec les peuples sur des bases souveraines, égalitaires et pacifiques. Et ainsi, d’en finir avec la servilité envers l’impérialisme états-unien et ses supplétifs européistes, wahhabites et sionistes devant lesquels s’aplatissent tous les euro-gouvernements depuis quatre décennies, et avec lesquels les euro-gauches (Roussel, Mélenchon) ne pourront totalement rompre par refus de sortir de l’UE, pourtant partenaire stratégique de l’OTAN depuis 2022.