VICTOIRE HISTORIQUE DE STALINGRAD, 2 février 2025, 82ème anniversaire: PAS DE REVANCHE POSTHUME POUR HITLER !
Déclaration de la commission internationale du PRCF – Au moment où, secondée par le belliciste Macron, l’Impératrice Ursula von der Leyen planifie une guerre potentiellement suicidaire pour toute l’Europe à l’encontre du peuple russe, au moment où, commémorant la libération d’Auschwitz par l’Armée rouge, la Pologne euro-atlantiste invite l’Allemagne mais pas la Russie et la Biélorussie, au moment où ces mêmes gouvernants européens sans honneur s’allient aux descendants ukrainiens revendiqués de Bandera et d’Hitler, au moment où, en Hongrie, les dirigeants du pays arborent fièrement le génocidaire Régent Horthy tandis qu’en Italie Giorgia Meloni, reçue en grande pompe par Trump, restaure le culte de Mussolini, au moment où, en France, le gouvernement Bayrou se contorsionne pour obtenir la « non-censure » d’un parti raciste, les militants franchement communistes du PRCF et de la JRCF, auxquels s’associent ceux du Comité Internationaliste pour la Solidarité de Classe, inclinent leurs drapeaux rouges et tricolores devant la mémoire héroïque des combattants soviétiques de Stalingrad qui, au prix trop souvent de leur jeune vie, brisèrent les reins de l’ « invincible » Wehrmacht.
Travailleurs, jeunes de France, patriotes républicains et antifascistes, nous péririons tous dans l’infamie si nous oubliions deux paroles fortes et justes qui ont été proférées, l’une par le Général de Gaulle en visite à Moscou en 1944, l’autre par Maurice Thorez, secrétaire général du Parti Communiste Français, en pleine guerre froide alors que ce parti alors courageux était menacé d’interdiction par le fascisant pouvoir euro-atlantiste en place:
« Les Français savent que la Russie soviétique a joué le rôle principal dans leur libération ».
et aussi… »Jamais, non jamais, le peuple de France ne fera la guerre à l’Union soviétique! ».Peuples veillez, car, comme l’écrivait Bertolt Brecht, «
Il est encore fécond le ventre qui a enfanté la Bête immonde » du nazi-fascisme; et ce « ventre » abject a toujours nom exploitation capitaliste, anticommunisme, antisoviétisme et oppression impérialiste.
La Commission Internationale du Pôle de Renaissance Communiste en France, 2 février 2025S’associe à cette déclaration LEON LANDINI, ancien officier des FTP-MOI, Grand Mutilé de Guerre, Résistant décoré par la France, l’URSS et Cuba socialiste, président de l’Amicale Carmagnole-Liberté des anciens Francs-Tireurs et Partisans de la Main-d’Oeuvre Immigrée
Le dossier spécial Stalingrad d’Initiative Communiste : cliquer ici
STALINGRAD: HIER, AUJOURD’HUI, DEMAIN, No pasaran! – un succès de la pétition à amplifier.
Stalingrad, la force communiste des soviétique ou la lutte contre la tyrannie et la victoire de l’innocence et de la résilience face à l’oppression à travers la fontaine Barmalaï
« 23 août 1942. Après un bombardement massif de l’aviation allemande » – phtographie Emmanuel Ievzerikhine
- La lutte contre l’oppression
Bataille de Stalingrad : Cette bataille, qui s’est déroulée de 1942 à 1943, est un tournant majeur de la Seconde Guerre mondiale. Elle symbolise la résistance acharnée de l’Union soviétique contre l’armée nazie, qui cherchait à dominer l’Europe et à imposer son idéologie totalitaire. Les soldats soviétiques et les civils ont combattu avec une détermination farouche pour protéger leur patrie et leur liberté, malgré des conditions extrêmes et des pertes massives 710.
Conte de Chukovsky : Dans Barmaleï, un bandit tyrannique, Barmaleï, terrorise les enfants avant d’être finalement vaincu par un crocodile. Ce conte illustre la victoire du bien sur le mal, où l’innocence et la justice triomphent face à la cruauté et à l’oppression. Le crocodile, symbole de force et de protection, représente la résistance contre un oppresseur 3.
- La symbolique de la résilience
Bataille de Stalingrad : La ville de Stalingrad est devenue un symbole de résilience et de sacrifice. Malgré les destructions massives et les souffrances endurées, les défenseurs ont tenu bon, refusant de céder face à l’ennemi. Cette résistance a marqué un tournant psychologique dans la guerre, montrant que l’Allemagne nazie n’était pas invincible 710.
Conte de Chukovsky : Les enfants dans le conte, bien que confrontés à un danger imminent, finissent par être sauvés grâce à leur courage et à l’intervention du crocodile. Cette histoire met en avant la force de l’espoir et la capacité à surmonter les épreuves, même dans les situations les plus désespérées 3.
- La dimension collective et héroïque
Bataille de Stalingrad : La victoire soviétique à Stalingrad a été rendue possible grâce à l’effort collectif des soldats, des civils et des dirigeants militaires. Des figures comme le général Tchouïkov et les soldats anonymes ont incarné l’héroïsme et la solidarité face à l’adversité 1012.
Conte de Chukovsky : Dans Barmaleï, la victoire contre le bandit est également le résultat d’une action collective. Les enfants, aidés par le crocodile, représentent l’union et la coopération pour vaincre un ennemi commun 3.
- La portée symbolique dans la culture
Bataille de Stalingrad : Cette bataille est devenue un mythe dans la culture russe et mondiale, symbolisant la lutte contre le fascisme et le nazisme. Elle est souvent évoquée pour rappeler les sacrifices consentis pour la liberté et la paix 710.
Conte de Chukovsky : Barmaleï est une œuvre littéraire qui a marqué des générations d’enfants en Russie. Elle enseigne des valeurs de courage, de justice et de résistance face à l’injustice, tout en restant accessible et ludique 3.
Le point commun entre la bataille de Stalingrad et le conte de Chukovsky réside dans leur message universel de résistance face à l’oppression et de victoire du bien sur le mal. Ces deux récits, bien que très différents dans leur forme (l’un historique et tragique, l’autre littéraire et fantastique), partagent une profonde symbolique de lutte, de résilience et d’espoir. Ils rappellent que, même dans les moments les plus sombres, la détermination et l’unité peuvent triompher de la tyrannie.