Alors que le pouvoir bolivarien met en place un Parlement populaire , dans un salon contigu à l’hémicycle, instance qui rassemble les représentants des Communes populaires , des structures de pouvoir révolutionnaire, considérées comme la pierre angulaire du socialisme du XXIe siècle promu par Hugo Chavez et conteste devant les instances juridiques régulières l’élection de trois députés réactionnaires, la Droite vénézuélienne hurle au « coup d’État judiciaire », ce qui ne manque pas de sel quand on sait que ces gens, représentants de l’oligarchie capitaliste du pays ont tenté un vrai coup d’ État contre Hugo Chavez et que la stratégie de la tension, la déstabilisation et le blocage de l’économie font partie de la panoplie de ces apprentis Pinochet. Qui ont obtenu le soutien de M. Valls, Premier ministre de droite français ce qui n’étonnera personne de sensé.
Le secrétaire-général du Parti Communiste Venezuelien et député, Oscar Figuera, a affirmé que « face à la menace du fascisme et du réformisme », il est urgent d’approfondir les « processus révolutionnaires ».
Le PCV, dans sa conférence de presse, a mis en garde sur la « menace fasciste » et les « courants réformistes » qui ne cherchent pas à approfondir le processus mais qui « tentent de construire des mécanismes de conciliation, des politiques de collaboration » qui font retomber la crise capitaliste sur les épaules des travailleurs.
La Commission internationale du PRCF.